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 maxim fitzgerald (max irons)

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Evey Rhodes
SCARS FROM TOMORROW.
Evey Rhodes
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MessageSujet: maxim fitzgerald (max irons)   maxim fitzgerald (max irons) EmptySam 9 Déc - 19:57



IL ÉTAIT UNE FOIS, DANS UN ROYAUME LOINTAIN, MAXIM FITZGERALD, ISSU DE SANDSTONE ET AGE DE VINGT-QUATRE ANS. CONNU POUR ÊTRE CYNIQUE, CULTIVE, AMATEUR DE LITTÉRATURE ET DE FEMMES, DÉSABUSÉ, SARCASTIQUE, INDÉPENDANT, IMMATURE, FIER, FLAMBEUR, AUTODIDACTE, IL OFFICIAIT COMME ÉTUDIANT EN LETTRES.

« once upon a time »


1. ► Si l'on devait présenter Maxim en quelques mots, sans doute dirait-on qu'il est un petit con qui fume beaucoup trop, qui se pense arrivé avec son argent, qui brise le cœur des filles en couchant avec elles pour les laisser dès le lendemain. Et c'est sans doute un peu vrai. Acteur de sa propre comédie, Maxim joue ce rôle avec tant de facilité qu'il est devenu une seconde nature pour lui, une seconde peau dont il ne peut plus se défaire tant elle a été travaillée avec les années. Amateur de ce qui fait le bonheur d'une jeunesse en perdition, il use et abuse, ne s'excuse jamais d'être généralement le petit rigolo immature parce qu'il sait très bien que tout ça n'est que du vent. Et il se moque bien qu'on le déteste, que les parents mettent leur fille en garde contre ce bon à rien, que lesdites filles l'agonissent d'insultes sitôt le matin levé, alors qu'il se faufile hors de leurs draps. Quelle importance, au fond. Il se satisfait pleinement de l'image qu'il renvoie et en joue beaucoup trop, sans doute pour se protéger inconsciemment contre ce que pourraient lui faire les gens s'il les laissait s'imprégner trop de sa véritable personnalité.
2. ► S'il se plaît à se faire passer pour ce qu'il n'est pas, c'est sans doute parce que contrairement à la plupart de ses camarades, il n'a jamais eu de modèle familial. Si ses parents ont compris comment on faisait les enfants, ils ont de toute évidence oublié le chapitre de l'éducation. Maxim a été livré à lui-même dès le début. Car ses parents étaient bien trop obnubilés par un travail prenant pour se rappeler qu'ils avaient un fils qui réclamait avant toute chose de l'amour. Fils unique, il a été pourri gâté, toujours. Mais lorsqu'il recevait une console de jeu vidéo pour son anniversaire, sa seule pensée était qu'il aurait bien voulu que son père y joue avec lui, plutôt que de lui envoyer une carte écrite pompeusement. Lorsqu'il faisait un cauchemar, il aurait bien voulu que sa mère vienne le consoler plutôt que de rester à pleurer des heures dans sa chambre, seul. Toujours seul, encore, lorsqu'il réussit le lycée. Assister à la remise des diplômes de leur fils unique ? Pour quoi faire ? Enfin, seul encore à présent, alors qu'il a compris qu'il n'obtiendrait jamais rien de plus de ses parents que de gracieux chèques pour compenser leur manque d'amour. Alors il les déteste. Du plus profond de son cœur, de son être, autant qu'il a voulu qu'ils l'aiment, lui. Le pire de tout cela, c'est qu'ils ne réalisent même pas la haine que leur voue leur unique fils, car là encore, ils sont bien trop préoccupés par des considérations matérielles pour se soucier de l'état d'esprit de leur fils. Parfois, Maxim tente de tomber plus bas que terre, de repousser les limites de la connerie humaine, pour l'unique plaisir de salir leur nom un peu plus, un nom qu'il abhorre autant qu'il abhorre ses parents. Mais la plupart du temps, tout ce qu'il gagne, c'est de renforcer l'opinion des gens à son égard. Il voudrait bien pouvoir leur dire, que tout ça n'est qu'artifice, qu'au fond, il n'est qu'un petit garçon qui s'est élevé seul parce qu'il n'avait personne pour le faire mais il continue de jouer, inlassablement. Jouer, ça demande moins d'investissement émotionnel.
3. ► Maxim, plus que tout le reste, il aime la littérature. Là où certains n'y voient qu'un passe-temps, lui y voit sa raison de vivre, un besoin intarissable de savoir, de rêve, d'évasion. Il a décidé d'en faire ses études et il décidera sans doute d'en faire son métier, quand il aura cessé d'être un petit con arrogant, quand il acceptera d'être tel qu'il est : curieux, cultivé. Ses auteurs préférés se nomment Charles, ou encore Victor, peut-être même aussi Francis Scott. D'ailleurs, s'il haït son nom de famille et tout ce qu'il implique, il se plaît à espérer qu'un jour, lui aussi sera digne de s'appeler Fitzgerald, comme l'illustre écrivain. Maxim dégueule sur ces romans de gare, ces romans à l'eau de rose où l'héroïne finit toujours par s'en sortir. Il déteste ce qui fait pleurer dans les chaumières les pauvres nanas en manque de sensations. Ce qu'il aime, c'est la littérature pure et dure, la vraie littérature profonde où l'on passe plus de temps un dictionnaire à portée de main qu'autre chose. Il peut passer des nuits entières à dévorer encore et encore ses chefs d'oeuvre favori (Notre Dame De Paris restant de loin son roman préféré). Il aime l'art de la rime, l'art des figures de style, il envie ces hommes et leur talent, s'en nourrit jusqu'à l'overdose dans l'espoir vain d'un jour leur ressembler, de parvenir à leur niveau. Véritable autodidacte, il rêve de mettre à profit sa connaissance des langues pour traduire lui-même ce qu'il écrira. Et qu'importe s'il n'y a que lui pour y croire.
4. ► Depuis toujours, il rêve d'évasion, celle qu'il touche du bout des doigts sans jamais l'atteindre. Fairview ? Il hait cette ville qui lui rappelle des géniteurs absents, ses erreurs passées et à venir. Plus que tout le reste il voudrait quitter cet endroit de malheur, partir à la conquête du monde. Europe, Asie, Afrique, il veut que le reste de la planète n'ait plus de secret pour lui. Fairview, c'est sa Némésis, sa hantise, il craint de devoir y rester pour le restant de ses jours, à côtoyer des personnes qui contrairement à lui se plaisent dans cette petite ville. Pourtant, celle-ci s'acharne à le garder en son sein, lui cause mille tourments chaque fois qu'il tente ne serait-ce que d'y mettre un pied en dehors. Comme si elle voulait lui rappeler qu'il lui appartient, qu'il ne peut s'échapper de cette vie, de cette ville, qu'elle le gardera jusqu'à ce que l'usure le ronge et le foute six pieds sous terre. Il ne compte plus les problèmes de voiture ou les entorses causées pour peu qu'il essaie de s'évader. Maxim est frustré de devoir rester dans cet endroit mais serait encore plus frustré de perdre la vie en essayant de s'en enfuir. Alors il reste à Fairview, continue de rêver d'une vie en dehors des limites de l'Oregon, frôler le bout du monde, d'un côté puis de l'autre. Il veut conquérir les pays et surtout, y conquérir les femmes, dresser une liste de toutes celles qui passeront entre ses draps. Il veut toutes les couleurs, toutes les ethnies, toutes les origines, il les veut toutes. C'est à cela qu'il en est réduit, Maxim, à vouloir créer son tableau de chasse et dilapider l'argent familial, puisqu'il n'est bon qu'à cela.
5. ► Maxim fait partie des personnes que l'on déteste toujours à l'école, parce qu'ils réussissent sans efforts là où vous échouez en passant des heures à réviser. C'est qu'il n'est pas aussi bête qu'il s'en donne l'air. D'ailleurs, ne dit-on pas qu'il est aisé pour quelqu'un d'intelligent de paraître bête, mais que l'inverse est impossible ? Il se moque bien, lui, qu'on le pense intelligent, cultivé, savant. Tout ça, ce ne sont que des mots, on passe à côté de l'essentiel : la vie est un grand jeu, une grande mascarade, certains se cachent simplement mieux que d'autres. Mais il n'est pas idiot, Maxim, loin s'en faut. Il aime lire, il aime étudier, mais il est simplement un peu fainéant et choisit ses sujets, comme tous les enfants trop intelligents pour se contenter d'études. Il n'en reste pas moins quelqu'un d'assidu en cours, à des années-lumières de l'image de l'incapable qu'il se donne et qu'il renvoie aux autres. Ses géniteurs ne le savent pas, sans doute, que leur fils possède une mémoire incroyable, qu'il retient presque tout ce qu'il lit, tout ce qu'il étudie. Non, à leurs yeux, il reste cet être dont on ne s'occupe pas parce qu'on se moque de lui, sang ou pas sang. Il a cessé de vouloir les rendre fiers de lui, comme il a cessé de croire qu'il suffisait d'être intelligent ou de réussir pour se faire aimer des autres. Ce n'est pas ça qui plaît, Maxim le sait bien. Tout le monde préfère le type sociable au clown triste, alors Maxim fait ce qui plaît aux gens, puisque c'est ce qu'il fait de mieux. Et lorsque plus personne n'est là pour le voir, il avale des livres de langues, des livres de lettres, des livres tout court, et se nourrit de cet imaginaire fantasque qui anime ses désirs d'échappatoire. Et il continue d'aimer ce qu'il fait, de faire ce qu'il aime : être un petit con que tout le monde adore ou méprise, et se ménage son jardin secret, celui d'un héros de roman torturé au spleen envahissant lorsque d'aventure, il s'égare sur les chemins de l'ébriété.
« behind the mask »
PSEUDO/PRÉNOM : LIGHTWOODS, Jordane. PARRAIN : me, myself and I . AVATAR : max irons (peter s. parker-kennedy inside ) . GROUPE : sandstone. COMMENTAIRE : allez, cette fois c'est pour de vrai même si on sait tous que ce n'est pas raisonnable, je suis une machine à rp alors ça devrait le faire
Citation :
FAIRVIEW ~ Maxim, c'est l'archétype même du petit con, trop concentré à se taper la terre entière et à cultiver une réputation de flambeur pour avoir ne serait-ce qu'une once d'intelligence. Pourtant, il dévore les mythes littéraires, ses auteurs favoris se prénomment Charles, Victor, Ernest, il peut vous lister tous les livres du mouvement romantique par année de sortie et par ordre alphabétique, à l'endroit, à l'envers. Derrière son arrogance et sa façon de se désintéresser de tout, il est en réalité profondément cultivé et intelligent. Assez du moins pour comprendre que s'il ne peut obtenir l'amour de ses parents toujours absents, il peut au moins se satisfaire de la somme impressionnante qu'ils lui versent chaque mois et la gâcher dans des plaisirs futiles tels que les femmes, l'alcool, les cigarettes, ou la version originale d'un monument de la littérature. Il possède une mémoire impressionnante, et en autodidacte, apprend des langues étrangères avec pour ambition d'écrire une merveille de la littérature et de la traduire lui-même dans toutes les langues qu'il connaît. Il vous susurre du français, de l'italien, de l'espagnol, de l'allemand, du russe et du portugais à l'oreille, alors même que son esprit est déjà accaparé par l'apprentissage d'une nouvelle langue. Maxim, c'est un petit con, mais un petit con malin, qui a compris qu'il ne servait à rien de se présenter tel qu'il était alors que le mythe qu'il a construit séduit autant.

GOLDENDUST ~ Godric est l'antihéros par excellence, ce type qu'on a élevé pour devenir un jour roi mais qui se présente plutôt comme un bon à rien, si ce n'est à manier son épée en chevauchant son fidèle destrier. Incapable de prendre une décision mature, n'ayant de toute évidence pas l'envergure que son père souhaiterait voir en lui, il se rapproche de tout sauf d'un roi potentiel de Sandstone. Et c'est tant mieux, parce que lui n'y aspire pas réellement et préfère à ce fardeau les plaisirs de la chair qu'il consomme sans aucune modération. Pourtant, il montre un cœur pur et une âme vaillante lorsque, au détour d'une rencontre hasardeuse, il découvre l'existence de Raiponce et tombe éperdument amoureux de cette fille à la beauté époustouflante, prisonnière d'une marâtre odieuse. Dès lors, il n'a de cesse de vouloir la délivrer, afin de l'épouser et d'occuper enfin le rôle qui est le sien, celui d'un roi, un vrai. Sa détermination le pousse à braver tous les dangers pour sauver sa princesse et cela, même lorsqu'il est condamné à errer dans les déserts inhospitaliers de Sandstone, après avoir eu les yeux crevés. Aveugle, il n'en reste pas moins homme courageux, persuadé que l'amour triomphera et qu'un jour viendra où Raiponce viendra à son tour le sauver.

« and they lived happily ever after. »


« Comment peux-tu te montrer si nonchalant ! » s'exclame une voix grave et austère alors que Godric s'anime d'un rire nerveux. Il ne peut s'en empêcher, c'est l'effet que lui fait son paternel chaque fois qu'il se fait réprimander. Il se force à afficher une moue contrite, fixe le sol du regard pour ne pas avoir à croiser l'exacte réplique de ses prunelles chez son géniteur et reste silencieux. Il attend que la tempête passe enfin, que son père se lasse de l'agonir de reproches et parte en lui rappelant combien il est déçu de ce fils indigne. « Tu n'es qu'un bon à rien, un incapable, tu me fais honte. » Godric acquiesce, passablement indifférent face à la froideur qu'il connaît bien. Son père possède un tempérament inquiétant, mais il a cessé de sursauter au moindre haussement de voix. Oui, il le déçoit, constamment même et il le sait. Si cela l'encourage à changer d'attitude ? Pas le moins du monde. Là où son père l'imaginait déjà roi de leur province, gouvernant un peuple avec autorité et force, Godric se montre terriblement peu compétent en la matière. Le seul à lui obéir, pour l'instant, reste son fidèle destrier qu'il guide habilement dans les recoins de Sandstone, ou bien à proximité d'Andotaurë, avec Floyd. Il en est persuadé, s'est fait à l'idée : il n'aura jamais l'envergure d'un roi et son père devrait cesser de fonder tous ses espoirs en un fils qui se moque bien d'un jour s'asseoir sur le trône. Si étrange que cela semble aux yeux de son père, être roi ne l'intéresse pas le moins du monde. Il est indifférent aux affres de la politique, bien trop maladroit pour gouverner une région, et bien trop impulsif pour écouter les divers conseillers qui ne manqueront pas de vouloir l'abreuver de mille paroles qu'il n'entendra qu'à moitié. Godric a toujours su qu'il n'aurait jamais la poigne de son père et n'a jamais ne serait-ce que caressé l'espoir d'assumer un rôle qui n'est de toute façon pas le sien. Après tout, il n'est pas l'héritier légitime, pourquoi devrait-il se comporter irréprochablement alors même qu'il n'a aucune assurance d'asseoir un jour son postérieur sur le siège royal ? Non, Godric, ce qu'il aime, c'est la chasse. La chasse aux femmes, aussi et surtout. Et c'est bien là les seuls domaines dans lesquels il excelle. Immature, il préfère aux intrigues qui se nouent dans le royaume les courbes célestes des femmes qui se pressent à sa rencontre. Prince qui n'en a que le titre, rien ne lui plaît plus que de narguer son paternel en affichant ses mille conquêtes, renvoyées dès le jour levé. Et plus son père lui rappelle combien il lui fait honte, plus il continue de se moquer de lui et de ce titre qu'il ne mérite pas, qui ne lui reviendra pas, et qui ne l'intéresse pas. « J'entends bien, père » répond-il avec insolence, évitant de justesse une gifle royale que son père ne manquerait pas de lui infliger face à autant de nonchalance. Celui-ci secoue d'ailleurs la tête, lassé de n'avoir aucun pouvoir sur ce fils unique, déception parmi les déceptions. De lui, Godric n'avait gardé qu'un physique avantageux. On ne discernait chez lui aucun des traits de caractère qui faisaient la renommé de son père. Poigne, assurance, dignité. Sa dignité, il l'a perdue bien longtemps auparavant, et s'abreuver du corps des femmes lui semble bien plus important que de se comporter comme le prince qu'il est. Agacé, ou bien lassé (sans doute les deux), son père darde un dernier regard noir à l'encontre de son incapable de garnement et tourne les talons, quitta la grande salle de leur palais. Godric hausse les épaules et prend sa suite quelques minutes plus tard. Ses pas le guident naturellement vers les écuries, où son cheval l'attend sagement. Déterminé à ne pas s'attarder plus que de raison dans cet endroit, puisqu'il semble n'y plus être le bienvenue, comme son père ne cesse de le lui rappeler, il chevauche l'animal, s'aventure dans les régions les plus excentrées de Sandstone durant ce qui paraît des heures. Le soleil, qui se levait à peine lors de l'échange avec son père, s'apprête à disparaître et ses derniers rayons bercent l'horizon de couleurs chatoyantes. Il continue de galoper et les seuls mots qu'il prononce se destinent à son destrier qui le porte vers une oasis réconfortante, caressée par le jour qui cède sa place à la nuit dans un camaïeu d'orange. Là, à demi cachée par les bosquets et les arbres, il y distingue l'ombre d'une immense tour, invisible à qui ne la cherche pas. Seuls les trots du cheval brisent le silence alors qu'il s'en approche. Plus qu'il ne la voit, il entend la voix d'une femme appeler en direction de l'unique petite fenêtre, tout en haut de la tour. « Raiponce ! » crie cette dernière. Curieux, Godric observe en cachette l'étrange scène qui se déroule sous ses yeux. Des yeux qui s'écarquillent lorsqu'il l'aperçoit s'accrocher à ce qui semble être une masse de cheveux blonds et monter jusqu'à la fenêtre. C'est un bien étonnant manège, qui l'intrigue suffisamment pour le faire patienter encore un peu, assez pour que la vieille femme en redescende et s'en aille. Ce n'est qu'une fois assuré de son départ que Godric s'approche à son tour. Incertain, pour ne pas dire perplexe, il tente d'imiter maladroitement la voix criarde qu'il a entendue et attend patiemment que quelque chose se produise. Et alors, comme il l'a vu un peu plus tôt, une cascade blonde dévale les pierres de la tour, jusqu'à ses pieds. Intrigué, il s'en saisit et se laisse remonter sagement jusqu'en haut. Il ne savait pas à quoi s'attendre en voyant l'étrange manège sous ses yeux, et alors qu'il franchit la fenêtre, il l'aperçoit. Elle semble jeune, elle est belle comme un cœur et sa tignasse blonde recouvre une grande partie de la petite pièce dans laquelle elle se trouve. Elle a l'air aussi étonnée que lui (encore qu'il en doute franchement, car son étonnement dépasse l'imagination) de le voir et il se retrouve tel l'idiot moyen face à cette fille. « Je suis Godric, prince de Sandstone. Et je viens vous délivrer de votre tour... Enfin...je crois. »

" I've been looking out of a window for eighteen years, dreaming about what I might feel like when those lights rise in the sky. What if it's not everything I dreamed it would be ? - It will be. - And what if it is ? What do I do then ? Well, that's the good part I guess. You get to go find a new dream. "
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maxim fitzgerald (max irons)

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