CAITIR (CAIT) WRIGHT.
fluent in profanity, sarcasm and sass.
(DATE & LIEU DE NAISSANCE): née à inverness, comme les trois-quarts de la population. un 31 octobre, et là ça devient déjà plus original. (ÂGE): vingt-six ans (et elle se retient violemment d'ajouter et toutes mes dents quand on lui pose la question). (ORIGINE/NATIONALITÉ): pure écossaise, ses deux parents sont nés et ont toujours vécu en écosse. elle s'est pas amusée à remonter la généalogie plus loin, elle a des loisirs un peu plus intéressants (no offence). (STATUT CIVIL): célibataire indépendante, pas le genre à chercher l'attention d'un autre être humain pour se sentir vivre. elle n'a eu qu'une relation à peu près sérieuse - et encore - et pour le reste se contente de flirts innocents et de nuits torrides. (EMPLOI/ÉTUDES): douée de ses mains, elle a toujours été plus manuelle qu'intellectuelle. petite, elle aidait son père à réparer des bateaux de pêche et en revenant à inverness il y a quelques mois, elle a appris le départ à la retraite de Garry, le garagiste de son quartier. avec sa part d'héritage, elle a décidé de reprendre son garage. on la voit donc plus souvent en jean ou bleu de travail qu'en petite robe. (TRAITS DE CARACTÈRE): tomboy, sarcastique, drôle (quand elle le veut bien), maligne mais pas nécessairement intelligente, débridée, ouverte, fun, manque de sérieux, sûre d'elle, sociable, fêtarde, masculine dans son attitude, espiègle, taquine, indépendante. (GROUPE): a beautiful wasteland. (AVATAR): phoebe tonkin.

stories we tell our young
○ (AVEZ-VOUS DÉJÀ ÉTÉ CONFRONTÉ À UN FAIT ÉTRANGE OU INEXPLIQUÉ? RACONTEZ-NOUS VOTRE EXPÉRIENCE AVEC LES MYSTÈRES QUI ENTOURENT CE MONDE.)

Si vous demandez à Caitir Wright ce qu'elle pense de toutes ces légendes sur les lèvres des habitants d'Inverness, il y a fort à parier qu'elle vous rie au nez. Elle n'a jamais cru à toutes ces histoires, qu'elle qualifie de conneries pour illuminés et touristes un peu naïfs, et rien n'a réussi à la faire changer d'avis. Terriblement ancrée dans sa réalité, son quotidien, son monde, elle n'a pas de temps à perdre avec ce folklore qui parvient tout juste à la faire rire quand elle en parle avec quelqu'un essayant de la convaincre de sa véracité. Sa sœur, Clara, avait la mauvaise habitude de tenter sa chance et Caitir lui a flanqué une telle frousse une nuit d'hiver en se faisant passer pour un fantôme qu'elle a été punie pendant trois semaines. Il existe pourtant une chose à laquelle elle ne parvient pas à trouver d'explication plausible. Une personne, plus exactement. Dva Eason, également résidente d'Inverness, lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Pire, aucune différence physique si ce n'est leur port de tête ou leur attitude ne permet de les distinguer. Tout le monde a commis l'erreur de les confondre au moins une fois, et beaucoup continuent de croire qu'elles sont sœurs jumelles. Pourtant, elles ne partagent pas le moindre lien de sang – Caitir en a longtemps cherché la preuve – et le mythe selon lequel tout le monde possède au moins un sosie dans le monde a pris un tournant pour le moins étrange. Sosie, passe encore, mais une personne identique jusqu'à la moindre tâche de son ? Carrément improbable. Cait est habituée à cette anomalie désormais, et ne sourcille plus lorsqu'on l'appelle par le prénom de cette autre, de ce double avec lequel elle s'est toujours efforcée de ne jamais avoir de liens. Il est déjà suffisamment difficile de savoir qu'elle n'est pas unique, il serait encore plus troublant de lui laisser une place dans sa vie.

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Pour une large partie de la population, en plus d'être le sosie de, Caitir sera toujours la petite sœur de. L'aînée s'appelait Clara Wright, était connue d'une grande partie des habitants et à travers les yeux peu objectifs de Cait, Clara incarnait tout ce qu'elle n'était pas et ne serait jamais : polie, bien élevée, sérieuse mais rêveuse – suffisamment pour croire aux mythes de la ville. Elle l'a toujours soupçonnée de faire partie de ces druidesses dont on parle parfois mais la vie a fait qu'elle n'a jamais pu lui poser la question. Longtemps, elles ont vécu à des années lumières l'une de l'autre, en partageant pourtant la même maison. Puis Cait a pris son envol après le décès de leurs parents, s'est tirée ailleurs en Ecosse et s'est fait sa propre vie là-bas. A Edimbourg, elle n'était pas la sœur de, seulement Cait, la fille pas dégueulasse à l'attitude de petit mec. De sa sœur, il y a beaucoup de choses qu'elle ne saura jamais, parce que Clara est morte et que son décès a fait les choux gras des commères de la ville. Elle est cette fille retrouvée au lendemain de Samhain à Craigh Na Dun, dont les raisons du meurtre restent encore à élucider. Cait est revenue par sens du devoir, et elle est redevenue en un claquement de doigts ce qu'elle a toujours été ici : quelqu'un n'existant qu'à travers quelqu'un d'autre. › Caitir a toujours été très masculine. Gosse, elle ne traînait qu'avec les garçons – souvent contre leur gré – et se faisait un devoir d'être capable de tout faire comme eux. Elle a même appris à faire pipi debout, bien que le succès soit relativement inégal en fonction des tentatives. Sa mère se désespérait de la voir rentrer avec les genoux en sang, les coudes égratignés et les chaussures pleines de boue et jurait à tous les dieux qu'elle aurait du avoir un garçon, plutôt qu'un garçon manqué. Malgré la vingtaine d'années qui la séparent de l'enfant qu'elle était, Caitir a toujours conservé une part de masculinité en dépit d'un physique de plus en plus féminin qu'elle a découvert avec appréhension à l'adolescence. Elle ne vit que pour ses jeans et ses tee-shirts, parfois pour des tenues un peu plus rocks mais la mettant rarement en valeur, elle ne se maquille pas, laisse ses cheveux faire leur vie et n'a jamais porté de talons de sa vie. Elle est plus à l'aise auprès des hommes qu'auprès des femmes, parce qu'elle partage leur sens de l'humour et leur façon de voir le monde. Née avec le sarcasme à la bouche, elle trouve plus facile de se moquer des hommes que des femmes, qui ont tendance à toujours prendre tout mal. › A vingt-sept ans, elle est l'heureuse propriétaire d'un garage en bord de ville. En plus de jouer avec les garçons quand elle était petite, elle avait la manie de vouloir toujours toucher à tout, et de comprendre elle-même par sa propre exploration le fonctionnement des choses. La mécanique a toujours été son domaine de prédilection et rien ne lui plaisait plus que de monter et démonter des pièces de voiture avec son père le weekend. La passion lui est toujours restée, et plutôt que de faire des études, elle a fait ses armes dans le garage de Garry, un vieux de la vieille, connaissant l'architecture d'une bagnole sur le bout des doigts. Il lui a tout enseigné, la mécanique approfondie, la carrosserie, le diagnostic, et elle a appris en réparant des vieilles voitures. Cait déteste d'ailleurs les voitures récentes, remplies d'électronique, qui perdent tout leur attrait mécanique. En revenant à Inverness après le décès de sa sœur, avec la part d'héritage de ses parents qu'elle avait précieusement conservé dans un compte en banque, elle a racheté son garage à Garry, qui cherchait à prendre sa retraite mais ne trouver personne pour perpétuer son héritage. Il le lui vendu pour une bouchée de pain, en lui demandant seulement de ne pas tout foutre en l'air. Elle est seule à gérer le garage, et refuse d'employer qui que ce soit. Son boulot, c'est sa passion avant tout, à partir du moment où ça devient une usine, il perd tout son intérêt. › Cait est bisexuelle. Elle vous sortirait bien le traditionnel « je tombe amoureuse d'une personnalité, d'un être humain », sauf qu'elle tombe pas vraiment amoureuse, donc ça colle moyen. Elle n'en a pas toujours eu conscience, et s'est longtemps rangée du côté des hétéros, jusqu'à rencontrer une femme, puis deux, puis trois, qui lui ont ouvert les yeux sur les possibilités. Ca n'a choqué personne, à croire que tout le monde s'attendait à ce genre de nouvelles de la part de Caitir. Elle, de son côté, n'a pas grand-chose à dire sur le sujet. Ca ne regarde qu'elle et ses partenaires, peu importe que certains trouvent encore malsain de pouvoir s'intéresser autant aux hommes qu'aux femmes. Ses préférences oscillent au rythme de ses rencontres, et peut-être qu'un jour elle s'arrêtera définitivement sur un genre, plutôt que de voguer de l'un à l'autre, mais en attendant, elle vit très bien sa sexualité. Elle en parle librement, sans pudeur, sans non plus en faire une histoire. C'est une partie de sa vie, mais elle est loin de ne résumer qu'à ça. › Son filtre est inexistant, ou presque. Elle sait parfois s'arrêter avant de balancer une vérité difficile à entendre, mais la plupart du temps elle fonce droit dedans. C'est peut-être parce qu'elle a grandi entourée d'hommes qui ne calculent pas grand-chose et vont droit au but. Ou bien c'est peut-être seulement sa personnalité qui veut ça. Quoiqu'il en soit, Caitir ne ment jamais, sauf cas de force majeure. Les regards noirs la laissent de marbre, les critiques la font marrer, il semble que peu de choses réussissent à l'atteindre – excepté certaines personnes qui ont le chic pour appuyer où ça fait mal. L'hypocrisie, bien que mal parfois nécessaire, lui paraît être quelque chose de superflu, raison pour laquelle elle dit les choses comme elle les pense, qu'elles soient vraies ou fausses n'a pas vraiment d'importance. Caitir, elle ne demande jamais l'avis des autres et se contente de faire ce que bon lui semble, mais aussi ce qui lui semble être juste... sauf quand elle fait passer ses désirs au-dessus du reste. Parce qu'elle est sympa, mais un peu égoïste. Comme le reste du monde, finalement.

the devil's mark
Cette partie de la fiche est facultative. Si vous êtes inspirés si vous souhaitez développer d'avantage votre personnage avant d'attaquer le rp, vous avez ici la possibilité d'écrire une ou plusieurs anecdote. aucun nombre de lignes ne vous est imposé, laissez jouer votre inspiration.

to ransom a man's soul
(PSEUDO/PRÉNOM): lightwoods, jordane. (ÂGE): toujours vingt-cinq ans, pour encore quelques mois. (PRÉSENCE): sept sur sept mon capitaine. (AVEZ VOUS PRIT UN SCÉNARIO?): nope. (COMMENTAIRES/SUGGESTIONS): concernant l'avatar, ça a été vu avec la joueuse de dva (je mets un peu de suspense sur le pourquoi du comment he). CREDITS: littlewolf@tumblr.