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 kane vaughan (jack o'connell)

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Evey Rhodes
SCARS FROM TOMORROW.
Evey Rhodes
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MessageSujet: kane vaughan (jack o'connell)   kane vaughan (jack o'connell) EmptySam 9 Déc - 19:21

Kane Vaughan
ft. jack o'connell
» Prénom(s) : kane (sloan) » Nom de famille : vaughan (murphy) » Nom d'usage : kane vaughan » Surnom/pseudonyme : the irish » Nationalité : américaine » Origines : irlandaises » Date de naissance : 12 août 1989 » Lieu de naissance : indéfini (il n'a jamais pu retrouver d'acte de naissance) » Lieu de résidence actuel : new york » Occupation actuelle : repris de justice, joue les videurs en attendant de trouver autre chose » Statut civil : célibataire.

god bless america (& its citizens)
ce qu'il faut savoir sur ton personnage


1. » Kane n'est personne. Gosse sans identité, sans parents, sans passé, avenir, encore moins de présent. Il a longtemps eu l'impression d'avoir simplement débarqué dans le monde, un jour, sans vraiment comprendre pourquoi. Son héritage, son passé, sa famille, n'existaient que dans l'imaginaire développé qu'il se forgeait au rythme de nuits solitaires. Personne n'est jamais venu le réclamer, lui, l'enfant des magasins abandonnés qui attendait de longues heures en vain. Peut-être vaut-il mieux qu'il ne sache rien de ses géniteurs et restent sur les images douces qui ont bercé son enfance. La vérité ? Il n'était pas désiré. Il était l'accident malheureux, le croisement d'une toxicomane et d'un alcoolique, tous deux Irlandais, qui ont préféré l'abandonner quelques semaines après sa naissance pour ne pas avoir à s'occuper de lui. Confié aux services sociaux irlandais, ce n'est pas aux Etats-Unis qu'il a vu le jour, comme il le croit encore, mais bel et bien sur le Vieux Continent. Kane était l'abomination indésirée, le fruit d'un lancer de dés hasardeux destiné, dès la naissance, à mal finir.

2. » C'est pourtant au cœur de l'Amérique que Kane a grandi. Son identité, il la doit à la première famille qui a accepté de l'accueillir en son sein, à trois ans. Sloan Murphy a entièrement disparu, sur leur demande, pour devenir Kane Vaughan, l'enfant chéri d'une femme incapable de tomber enceinte et d'un homme assez amoureux d'elle pour trouver une autre façon de lui offrir une nouvelle vie dans leur foyer. On les a mis en garde : ce gosse, c'est de la mauvaise graine en puissance. Il a passé trop de temps livré à lui-même, il a déjà trois ans, il est déjà trop tard. Mais eux n'ont rien voulu écouter, trop heureux qu'ils étaient d'offrir de l'amour à un enfant qui en manquait, un Irlandais, tout comme eux, émigrés de Dublin. Mais l'arrivée de Kane a fait valser l'équilibre fragile d'un couple déjà sur la mauvaise pente. Trop turbulent, trop violent, trop agressif, il a fait de leur monde un véritable enfer, avant qu'ils ne se décident enfin à rendre le tablier. Assez de cet enfant-là, ce monstre bien trop amoché pour être sauvé. A six ans, Kane a retrouvé les services sociaux, américains cette fois, pour être ensuite baladé de foyer en foyer sans jamais trouver la moindre stabilité. Entre familles désireuses de se faire du fric et parents violents, Kane a fini par grandir seul, sans repère, sans guide de moralité.

3. » D'emblée, Kane était destiné à mal tourner. C'est du moins ce qu'il n'a eu de cesse de répéter le jour où les flics l'ont arrêté pour trafic de drogues, un sourire goguenard placardé sur sa gueule. Comme si cette simple phrase expliquait tout, excusait les dérives, les plans foireux, les mauvais choix, la violence. Il n'a opposé aucune résistance, ne s'est qu'à peine ému du couteau dans le dos gentiment planté par ses camarades. Il résidait alors à une centaine de kilomètres de New York. Sa mission n'avait rien de compliquée : aller d'un point A à un point B, récupérer de la drogue sur les docks d'un port pour l'amener à des dealers qui s'empresseraient de la revendre à des jeunes riches en manque de sensations fortes. Cocaïne, parfois de l'héroïne, souvent de l'herbe et des ecstas. Kane partait d'un principe simple : moins il en savait, mieux il se portait. Les choses ont commencé à mal tourner quand l'un des dealers s'est fait prendre. Les dealers ne sont pas fiables, encore moins dignes de confiance. Pour une réduction de peine, il n'a pas hésité à balancer ses complices, qui n'ont eux-même pas hésité à faire de Kane le grand coupable de l'histoire. Un an de taule, parce que les flics n'en croyaient pas un mot mais qu'il fallait bien reconnaître qu'au moins une partie était vraie. Son avocat – commis d'office, naturellement – lui a dit qu'il avait eu le malheur d'être au mauvais endroit, au mauvais moment. Kane s'est contenté de répondre : c'est l'histoire de ma vie.

4. » Kane ne répond qu'à une seule loi : celle du plus fort. La violence de la rue s'est saisie de lui bien trop tôt et ne l'a plus quitté. Parce qu'il a grandi livré à lui-même, il s'est forgé à la force de ses poings. Trop dissipé, trop agressif, trop turbulent pour tenir plus d'une heure à l'école, on le trouvait plus souvent dans la rue que dans les rares écoles qu'il fréquentait. Là, il se faisait mettre des raclées monumentales, crachait du sang et des dents contre le bitume et ricanait sans pouvoir s'arrêter. Kane s'est endurci. Maintenant, il ne prend plus de coups. Plus autant. Et tous ceux qui l'atteignent, il les rend. La violence est le seul moyen qu'il a trouvé pour exprimer ses émotions. Incapable de contenir la rage, la peur, le dégoût, ses poings sont directement reliés à son cœur. Son année en prison ne l'a que vaguement assagi. Vaughan n'est pas stupide : il sait qu'il vaut parfois mieux la fermer pour éviter de crever. En prison, il a côtoyé des tueurs, des dealers, des violeurs d'enfants, des brutes sanguinaires, des psychopathes, et la crème de la crème de ce qui se fait de pire en matière d'êtres humains. Alors il l'a bouclée et a pris sur lui pour ne pas se faire battre à mort (et il s'agissait là de la meilleure des options). Il n'est sorti qu'il y a quelques semaines, à la condition de suivre un programme de réinsertion pour jeunes délinquants. Kane a accepté, par instinct de survie plus que par réelle envie. Contrairement à ce qu'il veut bien laisser penser, il est remarquablement intelligent, pour un type sorti de nulle part. Pas l'intelligence scolaire, celle qui s'apprend derrière un pupitre, mais celle du quotidien. Il s'est toujours gâché, comme le lui faisaient remarquer ses professeurs, désespérer de voir un tel potentiel saboté. Il s'en fout, Kane. De toute façon, un mec comme lui, il fera pas long feu. Il crèvera avant d'avoir trente ans, il en est persuadé.

5. » Kane, et c'est peut-être là tout le drame de l'histoire, n'est pas un mauvais garçon. Il possède un bon fond, qu'il a seulement éteint d'année en année, au rythme des abandons successifs qui ont ponctué sa vie. Il a fini par croire que c'était son destin, de ne pas être aimé. Qu'un type comme lui était condamné à vivre seul, et à crever seul. Il a depuis longtemps compris qu'il ne pouvait se fier qu'à lui-même et qu'il était l'unique personne en laquelle il pouvait avoir confiance. Kane se protège en permanence. Il n'accorde qu'un vague intérêt aux autres, ne s'implique d'aucune façon. Ses relations avec les femmes lui ressemblent : elles sont décousues, violentes et finissent mal. Vaughan rejette l'amour presque autant qu'il le désire. Plus que violent, il est surtout apeuré. Habitué à une certaine forme de solitude, il a fini par ne plus être capable d'avoir des contacts sociaux traditionnels. Sa peur panique de l'abandon le pousse à systématiquement foirer tout ce qu'il entreprend. Expert dans l'art de s'auto-saboter, il donne toutes les raisons du monde aux gens de se méfier de lui, voire de le fuir et trouve là le réconfort de retourner à son éternel cercle vicieux : plus il a peur, plus il a de raisons d'avoir peur. Ses amis, quant à eux, sont quasiment inexistants. Il côtoie des gens sans s'intéresser plus que de raison à eux, il rentre invariablement seul dans le taudis qui lui sert de logement.

6. » Kane a l'art de se trouver systématiquement au mauvais endroit, au mauvais moment - son corps est bardé de cicatrices, fruits de ses (trop) nombreuses altercations - il a déjà battu à mort un homme et n'a pas la moindre idée de ce que le type est devenu, ni même s'il a survécu - il possède plusieurs tatouages, sur les bras et le torse notamment - il a longtemps voulu retrouver ses parents mais devant le manque d'information, a fini par abandonner - il a consommé diverses drogues mais n'a touché à rien d'autre qu'à des clopes depuis sa sortie de prison - il bosse comme videur pour une boîte de nuit qui accueille les riches de New York et prend un malin plaisir à provoquer les clients, jusqu'à ce que ça dégénère en baston générale - à l'occasion, il se révèle être plutôt bon dessinateur - s'il avait d'ailleurs pu avoir un avenir digne de ce nom, il aurait sans doute étudié dans le dessin - il a été le maître d'un chien, un berger allemand, pendant quelques années - il est le plus souvent sur la défensive - il ne cherche pas le contact avec les autres et aurait même plutôt tendance à le fuir - il bafouille lorsqu'il est mal à l'aise et ne regarde jamais la personne dans les yeux - il n'assiste à ses séances de réinsertion qu'à contrecoeur, surtout parce que la fille en face de lui est terriblement irritante - quand il était gosse, la femme d'une de ses familles d'accueil à décapité sous ses yeux sa peluche préférée (et unique), simplement pour rire - il agit avant de réfléchir (comprendre : il cogne, et pose des questions ensuite) - il n'est pas fait pour avoir un job trop longtemps - il est persuadé de ne pas avoir d'avenir et qu'il crèvera tôt - il ne veut jamais avoir d'enfant - il jure plus qu'il ne parle - depuis des années, kane est incapable de dormir d'une traite et ses nuits de sommeil sont entrecoupées de cauchemars et de réveils en sursaut. - contrairement aux apparences, kane est quelqu'un d'aimant qui n'a jamais voulu qu'être aimé en retour, sans succès - il a une peur panique de l'abandon.

(violent, apeuré, fataliste, orgueilleux, malchanceux, loyal, solitaire, méfiant, aimant)

public knowledge
mise en situation rp


i'm waking up, I feel it in my bones.

Si Kane Vaughan avait été le genre de personne capable de réfléchir avant d'agir, il ne se serait probablement pas retrouvé enfermé derrière les quatre murs d'une cellule avec pour compagnon d'infortune un latino avec un penchant prononcé pour les enfants. Voilà le traitement qu'on offrait à un type incapable de ne pas se plonger dans les problèmes jusqu'au cou. C'était peut-être la caractéristique première de Vaughan, au-delà de ses pulsions irrépressibles de violence : cette capacité incroyable à toujours se retrouver au mauvais endroit, au mauvais moment et prendre les décisions les plus stupides. Jouer les transporteurs pour des dealeurs n'était visiblement pas l'idée la plus brillante, même pour lui. Il avait senti le vent tourner quelques jours avant la livraison de cette cargaison de coke. A l'instant même où Johnny s'était fait coffrer après avoir un peu trop ouvert sa gueule, Kane avait eu le sentiment qu'ils allaient inévitablement la lui faire à l'envers, d'une façon ou d'une autre. Il se rappelait encore des docks, leurs montagnes de caisses rouges et vertes empilées les unes sur les autres, l'odeur du vent marin parfois brisé de relents putrides, et de sa propre gueule quand les flics avaient débarqué en lui disant de mettre les mains en l'air, vous avez le droit de garder le silence et autres conneries. Il n'avait même pas bronché, pas cherché non plus à nier l'évidence alors qu'il tenait un carton rempli de briques de coke entre ses mains. Il avait simplement compris qu'il venait de se mettre dans la merde jusqu'au cou et qu'il ne s'en tirerait pas aussi habilement cette fois. Même ses réparties cinglantes et les menaces d'un poing seraient inefficaces face à un jugement devant un tribunal. Trafic de drogue, probablement cinq ans de taule, possible libération au bout de trois ans si l'avocat commis d'office faisait son job correctement. Pas de caution pour lui parce qu'il était considéré comme un flight risk, capable de choper le premier avion pour se tirer à l'autre bout du monde. Kane avait ricané avant de dire à voix basse que s'il avait eu assez de thunes pour le faire, il ne se serait pas amusé à transporter de la drogue d'un point A à un point B juste pour le plaisir. Son avocat lui avait dit de la boucler, et son sourire arrogant avait disparu. Depuis un an, il arpentait les couloirs sinistres de la prison, entouré de types qu'on préfèrerait ne jamais croiser. Rien de comparable avec les voyous qu'il laminait gaiment dans les rues à coup de poings. Plutôt des types avec lesquels on évitait de chercher les problèmes, par simple instinct de survie. Le genre à cacher des couteaux minuscules sous leur matelas pour venir le planter un beau jour dans le dos de quelqu'un, sans autre raison qu'un regard en croix. Si con qu'il pouvait être, Kane ne l'était toutefois pas assez pour prendre le risque de les provoquer et menait tranquillement sa barque, ignorant les 'mon mignon' sifflés par des mecs se léchant les babines, immondices de la race humaine, ignorant les insultes et les moqueries, contractant les poings sous pour autant les utiliser. Un comportement exemplaire qui lui avait valu quelques jours plus tôt la visite surprise de son avocat au parloir. « J'ai obtenu une audience avec le juge, pour lui vanter tes qualités de détenu » (ricanement) « et lui demander une sortie anticipée. » Kane était resté indifférent à l'annonce. « Il a accepté un marché qui me semble équitable. Vous sortez à la fin du mois, et en contrepartie vous suivrez un programme de réinsertion pour jeunes délinquants. Le juge s'est montré très réceptif, compte tenu du fait que c'était une première et que vous ne présentez pas vraiment de danger. » Kane avait refusé, dans un premier temps. Son égo avait suggéré d'envoyer violemment se faire foutre ce programme de réinsertion tout juste bon à jouer l'animal de foire pour des paumés venus faire leur B.A de l'année. Il aurait préféré crever plutôt que de suivre les ordres de qui que ce soit, même pour obtenir une réduction de peine. Une année supplémentaire à tirer versus un programme de merde, le choix était vite fait. Et puis son compagnon de cellule s'était pris une lame en plein bide, et Kane avait finalement reconsidéré le choix. Un programme de réinsertion versus sa vie, l'offre prenait soudainement en intérêt. Assez pour le pousser à accepter, bon gré mal gré, de se conformer pour une fois aux règles. Il goûtait depuis quelques minutes seulement à cette bonne vieille liberté, tout juste entravée par la perspective de sa première réunion, savourant le vent frais non plus comme taulard, mais comme homme – vaguement – libre. Il avait récupéré ses quelques effets personnels (une photo de franky et lui défraîchie par le temps, un vieux portefeuille ne contenant quasiment rien excepté ses papiers d'identité et deux billets de 10$, et les clés d'une vieille bagnole qu'il avait fini de retaper quelques jours seulement avant d'être arrêté) et s'était cassé sans même un regard derrière lui. Son avocat l'attendait sagement, juste à l'entrée, vêtu de son beau costume trois pièces, une mallette dans la main et une mine très sérieuse sur le visage. « Alors, content d'être libre, M. Vaughan ? » demanda-t-il avec suffisance. « Ouais » grogna Kane, qui exerçait là sa principale façon de communiquer. « Venez avec moi, j'ai pour consigne de vous amener jusqu'à New York, où se trouve le programme. » Sans aucune réponse à l'exception d'un bref haussement d'épaules, Kane le suivit calmement. New York, ricana-t-il intérieurement. La ville qui ne dort jamais, comme c'était approprié. Là-bas, rien ne l'attendait. Mais en vérité, rien ne l'attendait nulle part, il n'avait ni job, ni appartement, ni personne vers qui retourner. Et dans son propre intérêt et son si précieux instinct de survie, mieux valait mettre autant de distance que possible entre lui et ceux qui ne manqueraient pas de lui faire la peau en le sachant sorti de taule. « Vous allez pouvoir prendre un nouveau départ, et je vous assure que le programme vous y aidera » affirma son avocat, confiant. « Ouais » grogna-t-il à nouveau. Kane en doutait. Pour les types comme lui, il n'y avait jamais de nouveau départ, que des successions de problèmes et de choix hasardeux, de débrouillardise et de solitude.



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ce qu'il faut savoir sur toi


» Prénom : jordane.
» Pseudo : lightwoods.
» Âge : vingt-trois ans.
» Scénario ou personnage inventé : personnage inventé.
» Des multicomptes ? reed chamberlain, cece wildworth & holden carlisle.
» Impression sur le forum : mouhouh love it !
» Crédits : @jocdaily
» Le mot de la fin : miiiiiiiih.
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