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 norma d'arrast (sheila marquez)

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Evey Rhodes
SCARS FROM TOMORROW.
Evey Rhodes
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norma d'arrast (sheila marquez) Empty
MessageSujet: norma d'arrast (sheila marquez)   norma d'arrast (sheila marquez) EmptySam 9 Déc - 19:56



Il était une fois, dans un royaume lointain, Norma d'Arrast, issue d'Andotaurë et âgée de 23 ans. Connue pour être inatteignable, amoureuse de la liberté, passionnée, fêtarde, entière, indépendante, volubile, charmeuse, simple, authentique, elle officiait comme étudiante en histoire, spécialisée dans la mythologie Grecque.

« once upon a time »

► Norma nourrit une passion sans bornes pour l'histoire. La petite, la grande, l'ancienne, la contemporaine, tout dans cette matière la fascine et ce, depuis toujours. Tant et si bien qu'elle a décidé d'en faire des études, avec pour unique objectif de devenir historienne. Spécialisée dans l'Antiquité Gréco-romaine, elle voue un culte à la mythologie grecque et ses dieux de l'Olympe. Une petite part d'elle a toujours eu envie de croire que ces histoires fascinantes pouvaient avoir eu lieu, un jour. Que Zeus enleva Europe, qu'Hercule affronta l'ire de Héra, elle a envie de croire en ce héros de la mythologie, parce que le monde dans lequel elle vit, il n'a rien d'héroïque.
► Elle a soif d'indépendance, Norma. Elle a bien trop vite compris qu'elle ne pourrait jamais compter que sur elle-même. Tout cela, elle le tient de sa mère, cette mère qui se montre toujours bien trop sévère avec son unique fille, cette mère qui l'a élevée du mieux qu'elle le pouvait en l'absence d'un père. Un père qui n'a eu aucun scrupule à se faire la malle sitôt qu'il a eu vent de la grossesse de Démétra. Norma, elle a grandi comme elle l'a pu, mais elle a toujours su qu'elle ne voulait pas de la même vie que sa mère. Elle ne veut pas rester coincée dans cet appartement miteux, elle rêve de plus, de grandeur, de décadence, de vie. Elle rêve de vie.
► Elle ne ressemble en rien à ces filles toujours apprêtées, toujours parfaitement tirées à quatre épingles, avec leurs petits chignons dont aucune mèche ne dépasse et leurs robes toujours bien repassées. Norma, elle se moque éperdument de son style. De son absence de style, plutôt. Parfaitement à l'aise dans son jean, avec ses cheveux mal coiffés et son amoncellement de bracelets aux poignets, elle ne nourrit qu'un profond mépris pour ces filles qui passent plus de temps à se soucier de leur apparence que du reste. Les apparences, elle s'en fiche. Sortir sans maquillage ne lui pose aucun problème, pas plus que de ne pas partager le sens de la mode avec ces filles superficielles. Norma, elle vit pour le vrai, le naturel, l'authenticité. Celle qui ne s'achète pas, pas même pour tout l'or du monde.
► Avec ses moues enjôleuses, elle plait aux hommes. Elle ne joue aucune jeu pourtant, son charme est inné mais subtil. Plus allumeuse que fille facile, elle préfère faire languir les hommes plutôt que de leur donner ce qu'ils veulent. Elle les trouve inintéressants, souvent, grossiers parfois, avec leurs regards lubriques qui en disent long sur leurs envies. Alors elle ne leur fait pas ce plaisir et se contente de les séduire sans jamais rien faire de plus. Ce qu'elle cherche, c'est la passion, cette petite chose qui la ferait se sentir plus vivante qu'elle l'a jamais été, cette petite flamme qui l'on nourrit à la faveur du désir. Elle veut celui qui ne se donne pas, celui qui se gagne, qui intrigue, fascine, séduit. Elle veut le charme magnétique, les échanges langoureux, les corps qui frémissent, l'aventure. Surtout l'aventure. L'inconnu. Le danger, même. Norma, elle veut vivre sa vie jusqu'au bout, sans regret, et elle veut quelqu'un qui puisse le lui donner. Ceux qui accumulent les conquêtes par vanité, elle les méprise. Elle n'est pas de ces femmes qui se vendent comme de vulgaires morceaux de viande, elle est bien trop indépendante pour cela. Il lui faut quelqu'un qui partage ce même état d'esprit et alors, seulement alors, envisagera-t-elle de considérer l'homme qu'elle a en face de lui.
► Elle est bien plus maligne que ce que ses moues enjôleuses laissent penser. Elle plait, parce qu'elle est différente. Elle n'a pas besoin de fioriture ou de luxe, et son style parle pour elle. Elle se montre excentrique, parfois, mais n'oublie jamais d'où elle vient, qui elle est. Elle s'entoure de personnes marginalisées dans cette ville bien sous tout rapport que semble être Fairview. Les désespérés de la vie sociale, ceux qui trainent dans les rues tard le soir, ont cessé de faire acte de présence en cours. Ceux qui boivent leurs bières sur un banc, qui fument bien trop pour avoir l'esprit clair. Mais eux, ils sont vrais, autant qu'elle. Ils se ressemblent tous, forment une famille, celle qu'elle n'a jamais vraiment eue. Elle se mêle avec eux facilement et n'a jamais peur de rien. Elle se sent capable de toutes les folies, de dépasser toutes les limites, en leur compagnie. C'est de cela dont elle a besoin, Norma. De dépasser les limites, de repousser le danger, de se faire peur, pour se sentir exister. Elle vit pour ce frisson, cette adrénaline. Elle s'en abreuve, s'en nourrit. Sa mère se désespère, peine à la garder dans son cocon, la pense encore fragile. Mais Norma, elle a grandi, elle n'est plus cette petite fille que Démétra voit encore en elle. Ses courbes graciles, ses yeux de biche, ses tenues rock ne laissent aucun doute là-dessus. Elle n'est pas une femme-enfant. Elle est une femme, une vraie, une fille spéciale qui intrigue.

« behind the mask »
PSEUDO/PRÉNOM : jordane, lightwoods. PARRAIN : je m'auto-parraine, la grande classe. AVATAR : sheila marquez. GROUPE : andotaurë. COMMENTAIRE : c'est tellement pas raisonnable que j'ai limite honte/peur de poster ma fiche, mais c'est la faute d'alizé, tout ça, il faudra vous en prendre à elle et à ses scénarii auxquels je ne résiste jamais même quand je n'ai pas forcément le temps pour .
Citation :
FAIRVIEW - Norma a cette assurance que possèdent les filles qui savent qu'elles ne jouent pas. Elle est authentique, naturelle et simple. Mais pas simpliste. Derrière ses apparences de fille un peu déjantée, elle est assez intelligente pour savoir qui elle est. La seule chose qu'elle ne sache pas, c'est où elle va. Norma, elle se laisse guider par l'instinct, celui qui vous prend aux tripes et vous emmène partout et nulle part. Fascinée par l'histoire, en particulier par la mythologie grecque, elle rêve de pouvoir vivre de ce métier et sa connaissance en la matière n'a d'égale que sa passion pour ces héros de l'Antiquité. Si elle séduit les hommes, elle se laisse pourtant ardemment désirer. Elle est de celles qui plaisent, qui le savent, mais qui ne font rien pour faire avancer les choses. Ce qu'elle veut, c'est l'adrénaline, la passion, l'inconnu, la surprise. Elle veut se faire peur, Norma, elle veut qu'on l'emmène là où elle n'a pas encore été, repousser ses propres limites, vivre sa vie pleinement. Elle veut celui qui ne sera pas fasciné par elle, celui qui ne se laissera pas apprivoiser, celui qui aura ce charme magnétique, quasi-animal, tellement fort qu'il en devient dur de détourner le regard. Elle connaît bien quelqu'un qui regroupe toutes ces caractéristiques, mais elle n'est pas encore tout à fait certaine de savoir ce qu'elle veut de lui. Caron. L'arnaqueur au bagout hallucinant. Il a ce petit quelque chose qu'elle recherche, sans pourtant réussir à mettre le doigt dessus. Il est différent, et ça lui plaît.

GOLDENDUST - Perséphone, elle croule sous le poids des responsabilités. Avec quatre bouches à nourrir, celle de ses deux sœurs, de sa mère et la sienne, il ne lui reste guère le temps de penser à sa propre vie. Et pourtant, lors de ses rares moments de calme, elle y songe, imagine ce qu'elle serait ailleurs, en-dehors de cette mère étouffante qui semble si ardemment la priver de tout bonheur, de toute échappatoire dont rêvent toutes ces adolescentes. Mais elle, elle ne le peut pas. Obligée de cultiver la terre sans arrêt, elle sait bien que sa mère n'a pas les épaules assez larges pour supporter le poids d'une famille à élever, en l'absence d'un père. Alors elle l'aide comme elle le peut, même si elle sait que le jour viendra où sa mère devra s'en sortir seule, sans son précieux soutien, lorsqu'elle aura décidé de prendre son envol, d'épouser un homme. Ce dont elle rêve ? S'échapper et rejoindre le clan des rebelles, ceux qui méprisent le Roi. Elle voudrait en être, pour enfin obtenir ce rêve de liberté qu'elle attend depuis si longtemps, et pour elle, pour sa condition de paysanne sans le sou, que l'accession au pouvoir du prince Beau a rendu plus misérable encore. Mais plus que ça, elle voudrait que ses talents en matière de potions médicinales se développent et qu'elle devienne plus forte, plus puissante. Suivre le chemin de ses ancêtres elfiques, reprendre le flambeau de la magie et devenir une véritable sorcière. Mais pour cela, il aurait fallu que sa vie lui laisse le temps d'avoir des loisirs, ce qui n'est manifestement pas le cas, et elle se retrouve condamnée à répéter jour après jour les mêmes gestes et à veiller sur sa famille, en aînée qui se doit de tous les soutenir en mettant de côté ses propres aspirations.

« and they lived happily ever after »



we are the reckless, we are the wild youth. (a fairview tribute)
Une cigarette posée au coin des lèvres, Norma dévisage toutes les personnes autour d'elle. Elle les connaît, pour la plupart, mais certains semblent être nouveaux. Elle se met à sourire, parce qu'elle aime bien les rencontres, et que ceux-là ont l'air d'être exactement comme elle. L'un d'eux lui tend sa bière qu'elle attrape d'un geste agile et elle hoche la tête en guise de remerciements. Il marmonne son prénom, un truc du genre Luke, Lucas, elle n'est pas tout à fait certaine. La nuit est en train de tomber, la musique commence à s'élever et elle se laisse enivrer par les basses d'un rock divin. Elle se met à taper machinalement du pied sur le sol et son regard se pose sur l'ombre de son université. Contrairement à toutes ses fréquentations, elle s'y est rendue, aujourd'hui. Elle a suivi avec assiduité tous ses cours, prenant soin de tout noter sur son calepin rempli de griffonnages illisibles. Mais eux, ils ont depuis longtemps cessé de croire en leur avenir, qui aurait pu être brillant, pour se concentrer sur le moment présent. Elle rejoint leur état d'esprit et se laisse entraîner pour la nuit dans leurs fantaisies. L'un des nouveaux, qui semble bien s'entendre avec celui qui lui a offert une bière, vient s'installer à côté d'elle avec un sourire en coin. Elle répond à son sourire et plante son regard dans le sien. Elle n'a pas pris la peine de se maquiller ce soir. Ni aucun autre soir, d'ailleurs. Elle s'en fiche complètement, Norma, elle n'a pas besoin de ça. Elle trouve que les filles qui se maquillent ne font ça que pour cacher leurs secrets derrière une tonne de fard à paupières, pour se vêtir d'une nouvelle apparence qui les protège. Mais elle, elle n'a pas peur de se montrer exactement comme elle est, à la fois studieuse et charmeuse, rockeuse et pourtant féminine. Car sous son perfecto en cuir élimé par les années se cache un cœur qui s'embrase tous les soirs. « Comment tu t'appelles ? » demande-t-il, sans même essayer de cacher ses intentions. Son regard respire l'envie. Ca la fait sourire. Elle est la seule fille de la bande, et derrière son attitude de garçon manqué, elle sait que cela joue en sa faveur. Là où la plupart la protègent, d'autres tentent leur chance en vain. Elle se montrera sympa, plaisantera quelques minutes, laissera glisser quelques sous-entendus et lorsqu'il se fera plus entreprenant, elle répliquera qu'elle a quelque chose d'autre à faire et s'en ira en laissant couler un dernière regard sur l'inconnu. « Norma » répond-elle avec assurance. Comme Marilyn Monroe. Mais elles ne partagent rien de plus que le même prénom. Il hoche la tête, semble satisfait. Il fait claquer sa bière contre la sienne et la lève un peu, semblant vouloir trinquer. Elle fait de même et jette son mégot par terre avant d'en avaler une gorgée. Il commence à faire la discussion, avec la subtilité d'un éléphant dans un magasin de porcelaine. Qui est-elle, qu'est-ce qu'elle fait ici, comment une fille aussi mignonne peut traîner avec ces outcasts de Fairview. Elle hausse les épaules, rit parfois de son rire cristallin et répond avec vivacité. Ces outcasts, comme il dit, ce sont ses amis. Elle n'aime pas la superficialité des autres gens, elle préfère leur honnêteté désarmante et leur mode de vie. Elle les envie un peu, d'être aussi libres de leurs mouvements. Elle se doute qu'ils n'iront pas loin dans leur vie, probablement, qu'ils ne quitteront jamais Fairview, qu'ils ne sont promis à aucun avenir, mais elle s'en moque, au moins pour le moment. Grâce à eux, elle vit ses plus beaux instants de jeune femme à peine sortie de l'adolescence. Il sera toujours temps d'aviser plus tard. Elle lui pose d'autres questions, et il répond sur le même ton qu'elle. Ils badinent, et les autres le voit. Ils lui lancent quelques piques et elle se moque d'eux avec douceur. Ils savent, tous. Norma, on l'approche, mais on ne se l'approprie pas. Il perd son temps, mais elle le laisse rêver quelques instants. Elle sent sa main glisser sur sa cuisse et elle hausse un sourcil. Elle secoue la tête négativement et prit en flagrant délit, il la retire pour la reposer entre elle et lui. Norma se lève, salue tout le monde, et s'en va, ses bottines plates claquant contre les pavés. La nuit est réellement tombée cette fois, et elle déambule dans les ruelles de Fairview, seule. Elle n'a pas peur, ni de la nuit, ni des gens, elle vit encore dans sa candeur d'enfant. Alors qu'elle continue de marcher, elle se retrouve spontanément devant la boutique de Caron, fermée à cette heure-ci. Elle se met à sourire, et poursuit sa route. Sacré phénomène, le Caron. Arnaqueur de première, les gens lui donneraient pourtant le bon dieu sans confession, avec son éloquence et sa facilité à berner le monde. Cette pensée lui arrache même un rire, et si quelqu'un s'aventurait par ici, sans doute la croirait-il folle. Alors qu'elle s'approche de son appartement – et qu'elle s'attend à subir les réprimandes d'une mère qui ne tarit jamais de sujets de préoccupations la concernant – elle discerne une silhouette dans la pénombre. Rachitique, avec sa crête sur le crâne, elle pourrait le reconnaître entre mille. Il n'est pas du genre que l'on oublie facilement. Un rictus accroché au coin des lèvres, elle s'approche, ses mains dans les poches. « Tu faisais quoi ? » qu'il demande nonchalamment. Elle se pose à côté de lui, les yeux rivés sur les lumières de la ville. « Rien de spécial. » C'est la vérité. Elle ne faisait rien de spécial, et n'a aucun projet pour la soirée, sauf s'il lui propose quelque chose. Il ne le fera sans doute pas, ça lui plaît bien trop de garder une part de mystère et de ne jamais lui en offrir trop à la fois. Il se contente de quelques apparitions, quand elle ne s'y attend pas et quelque part en elle, son cœur de midinette se met à battre un peu trop fort. Mais elle n'en montre rien. Ca, c'est un secret qui ne regarde qu'elle, il n'a pas besoin de le savoir. Elle pose son regard sur lui, et lui sourit. « Et toi ? T'as fini d'arnaquer les gens pour aujourd'hui ? » Il sourit à son tour et ils restent ainsi en silence, quelques secondes, peut-être quelques minutes, elle ne sait plus trop. « Je rentre chez moi. A plus tard, j'imagine. » Il acquiesce et elle se détourne, prend la direction de son appartement. Même dos tourné, elle sent son regard sur elle, alors elle en joue et adopte ses airs d'enjôleuse. Elle le reverra, peut-être pas demain, mais plus tard. Et si ce n'est pas lui qui vient à elle, alors elle trouvera toutes les raisons du monde d'aller à lui. Mais toujours avec précaution.
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norma d'arrast (sheila marquez)

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