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 jacob baumer (armie hammer)

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Evey Rhodes
SCARS FROM TOMORROW.
Evey Rhodes
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MessageSujet: jacob baumer (armie hammer)   jacob baumer (armie hammer) EmptySam 9 Déc - 19:52



Il était une fois, dans un royaume lointain, Jacob Baumer, issu des Storytellers et âgé de 29 ans. Connu pour être déterminé, froid, charmeur, sans scrupule et pessimiste, il officiait comme artiste de seconde zone sans job fixe.

« once upon a time »
Nous attendons ici quelques points sur votre personnage réel (c'est à dire au sein de Fairview). Des parties de sa vie, ses manies, bref tout ce qui est bon à savoir. Cinq flèches sont obligatoires mais vous pouvez bien évidemment en rédiger autant que vous le souhaitez. Plus votre personnage sera détaillé, mieux ce sera pour trouver un quelconque lien avec d'autres membres.

1. ► Jacob fait partie de ces quelques rares personnes qui sont arrivées à Fairview bien après tout le monde, en compagnie de son frère Anton. Tous deux originaires d'Allemagne, le choix de cette ville n'a absolument rien d'anodin, bien au contraire. S'ils ont mis le cap ici, c'est tout simplement car ils sont les descendants des célèbres frères Grimm. Ces conteurs de génie qui ont, d'après les légendes, créé de toutes pièces leurs contes de fées. Blanche-Neige, Cendrillon, et j'en passe, toutes ces histoires qui ont bercé bon nombre de personnes. Vous pensiez réellement que toutes ces histoires sortaient de leur esprit ? Bien sûr que non. Même l'imagination a ses limites. Ils se sont inspirés très largement inspirés de la vie de personnes issus d'un royaume que certains qualifieraient de parallèle, nommé Goldendust. Et Jacob se moque qu'on le prenne pour un fou, de croire à ces histoires, car il le sait, il en est intimement convaincu, ces gens que ses ancêtres ont décrit existent réellement, et pire, ils ont quitté leur monde pour rejoindre le leur. Il a étudié tous les carnets trouvés par hasard dans sa demeure bavaroise, lu tous les récits et il en est sûr, ces personnes se trouvent quelque part, et il est déterminé à les trouver.
2. ► Contrairement aux petits garçons de son âge, il détestait qu'on lui narre les histoires qui finissent bien, où la princesse épouse son prince charmant, ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants. Son petit cœur ne battait que pour ces méchants qui faisaient barrière à l'amour des héros, et qui se retrouvaient tous inévitablement battus. Lui, il voulait les voir triompher, pour une fois, que la vilaine sorcière de Blanche-Neige tue sa belle-fille, que la Belle au bois dormant ne se réveille jamais, que la Reine de cœur coupe enfin la tête de cette maudite Alice, que le capitaine Crochet donne Peter Pan en pâture au crocodile. Les happy endings l'agacent, parce qu'ils ne reflètent pas la réalité. Dans la vie, il ne suffit pas d'être gentil pour réussir. Pire, les méchants fascinent, intriguent, plaisent. Et pour une fois, il veut que quelqu'un leur rende hommage. Et ce quelqu'un, ce sera lui, avec l'aide de son frère. Il veut aller dans cet endroit magique, suivre les traces des frères Grimm, et faire mieux qu'eux. Il veut réécrire l'histoire, et mieux, en créer une nouvelle où les méchants vaincraient, où le chaos s'installerait pour de bon. Il veut être témoin de ça, et bâtir de nouveaux contes.
3. ► Il n'est pas venu à Fairview en tant qu'observateur passif. Non, lui il veut jouer un rôle, un rôle crucial. De gré ou de force, il veut que tout le monde retourne à Goldendust, il veut que tous se souviennent de qui ils étaient, de leur puissance et est prêt à les aider, même si ses motivations sont loin d'être louables. Mais la déception est amère. Ici, personne ne semble se souvenir de qui ils sont, et pire, ses héros fétiches sont devenus plus doux que des agneaux, ou à des kilomètres de leur véritable personnalité. Mais qu'importe. Jacob est déterminé à leur rendre la mémoire afin de servir ses propres desseins. Ce rêve de conte l'obnubile tellement qu'il s'est perdu en chemin, devenant aussi sombre que ces vilains qu'il vénère. Rien d'autre ne compte à ses yeux, rien d'autre ne l'atteint. Il aurait pu ne pas être aussi dangereux si, comme son frère, il avait pu ressentir de la compassion pour ces personnages pris au piège dans un monde qui n'est pas le leur. Il est profondément mauvais, noir et tourmenté, et pourrait figurer en haut de la liste des grands méchants, excepté que personne ne le sait encore, que personne ne sait réellement ce qu'il veut et désire plus que tout, personne, excepté son petit frère. La maxime qui s'appliquerait le plus à sa personnalité serait "la fin justifie les moyens". Tout ce à quoi il aspire, c'est de s'élever, enfin, de sortir de ce carcan dans lequel sa famille l'a fait naître, cette vie misérable, sans argent, sans gloire, sans honneur. Il a économisé des années durant pour s'offrir le voyage de toute une vie, ici.
4. ► Il commence à regretter de l'avoir entraîné dans cette histoire. Anton est beaucoup trop humain pour cette mission, il n'hésite pas à s'attacher et compatir pour ces personnages prisonniers de leur nouvelle vie. Plus le temps passe, plus cette situation agace Jacob, qui ne fait pas dans l'empathie. Ce statu quo l'exaspère, il ne ressent aucune pitié pour eux, il ne cherche même pas à les comprendre, ni à comprendre pourquoi certains se sentent tellement mieux ici. Ce n'est pas leur place, ce n'est pas leur monde, qu'importe ce qu'ils en disent. Et surtout, ce n'est pas à Fairview qu'il assistera au drame qui se joue à Goldendust, et sans ça, il ne trouvera jamais l'inspiration nécessaire pour réécrire ces contes qui l'obsèdent tant. De fait, il se montre relativement dur avec son petit frère, à qui il reproche d'oublier sa mission et de risquer de tout faire capoter. Car Jacob n'aime pas l'échec, et surtout, n'aimerait pas échouer par la faute de quelqu'un d'autre. D'autant plus qu'il estime qu'Anton n'est pas vraiment très subtil et pour peu que certains commencent à se souvenir, leur couverture tomberait rapidement à l'eau.
5. ► Si on devait résumer sa personnalité en quelques mots, on pourrait dire de lui qu'il n'éprouve que très peu de sentiments, et certainement aucune empathie, aucune compassion. Il veut tellement réussir qu'il ne s'encombre pas de sentiments humains, au contraire d'Anton. Sans scrupules et sans morales, il est prêt à absolument tous les moyens pour parvenir à son but, rejoindre Goldendust et réécrire l'histoire. L'illégalité ne lui pose aucun problème, les coups bas non plus, il sait se montrer sournois et redoutable. Et sa déception face au lavage de cerveau qu'ont subi les habitants de Fairview n'a d'égale que la fougue qu'il met à leur venir en aide – dans son propre intérêt, évidemment. Et la palme de la plus grosse déception revient sans conteste à celle qui fut un jour la terrifiante Maléfique, devenue presque douce et gentille ici. Quel gâchis. Sans parler du roi Beau et de la Reine, qui, sans être à l'opposé de leur véritable personnalité, se montrent ici bien plus sympathiques qu'ils ne le sont réellement. A l'idée que tous finissent par se souvenir et que les alliances se refassent à nouveau, un sourire machiavélique naît sur ses lèvres. Il s'en réjouit d'avance, et il va sans dire que si d'aventure son voyage à Goldendust devait se prolonger, il rejoindrait sans hésiter le camp des méchants, ses idoles depuis toujours. Dans l'attente, il fait en sorte d'aider les gens à retrouver des bribes de souvenirs, en accompagnant chacun de ses pas d'un regard charmeur et d'un sourire carnassier. Il a bien compris que le meilleur moyen d'atteindre son but était encore de leur plaire.

« behind the mask »
PSEUDO/PRÉNOM : lightwoods/Jordane. AVATAR : armie hammer. GROUPE : storytellers. COMMENTAIRE : daddy's home .
Citation :
Jacob fait partie de ces humains récemment débarqués à Fairview. Descendant des frères Grimm, avec son frère Anton, il a pour but d'aider les personnes à retrouver la mémoire mais plus important, il donnerait son âme au diable pour pouvoir se rendre à Goldendust. Il veut être un témoin oculaire de la guerre qui y fait rage entre Beau et Charmant. Aucune intention louable derrière tout cela, l'unique désir de Jacob est de voir les méchants triompher et réécrire l'histoire des contes de fée. Persuadé qu'il possède le même talent que ses illustres ancêtres, tout ce qu'il souhaite, c'est de pouvoir revenir dans le monde humain avec suffisamment de ressources pour écrire son propre conte de fée qui finirait, bien évidemment, très mal. Pour cela, il est prêt à presque tout et sa visite à Fairview n'a rien d'anodine. Sous prétexte de se montrer sociable, il tente de glaner des informations et d'aider les vilains à retrouver leur mémoire, afin de mettre un terme à l'état latent de la ville, où tous ont oublié qui ils sont, ce qu'ils veulent, d'où ils viennent, prisonniers de souvenirs fictifs. Ne vous fiez pas à son sourire charmeur, il détruit et ravage tout, sans scrupule, nourri par un seul désir, devenir le plus grand conteur de tous les temps (et la gloire qui va avec, naturellement).

« and they lived happily ever after »
Les mains avides de Jacob ouvrirent avec précipitation l'un des nombreux carnets estampillés Grimm. L'écriture à l'encre commençait à disparaître à certains endroits, et le papier jauni lui conférait un style semblable à nul autre. Il avait beau connaître toutes les lignes par cœur, il n'hésitait pas à s'y replonger, dévorant ces contes qu'il aurait pu réciter au mot près. Sans même regarder, il ouvrit la page de la Belle au Bois Dormant. De tous les contes écrits par ses ancêtres, il était de très loin son favori. Pas pour la grâce et la beauté d'Aurore, qu'il méprisait complètement, mais pour la puissance et la peur qu'inspirait Maléfique. Plongé dans sa lecture, il n'entendit même pas les pas chaloupés de Hannah, petite-amie de longue date, qui s'était faufilée dans sa chambre. Elle l'encercla de ses bras frêles et déposa un baiser chaste sur sa joue. Il reposa le livre et déposa ses lèvres sur les siennes. « Qu'est-ce que tu fais ? » demanda-t-elle, enjouée comme à son habitude. « Encore avec ton bouquin pour enfants ? Tu sais, y a des versions plus récentes des contes des Frères Grimm, je ne comprends pas pourquoi tu t'obstines à lire des lignes illisibles... » Il poussa un soupir, son calme s'évaporant soudainement. « Bien sûr que non, tu ne peux pas comprendre. Pour ça, il faudrait que tu aies une once d'intelligence » lança-t-il, sévère. Elle lui adressa un regard choqué, tandis qu'il se levait de sa chaise en bois, bras croisés sur sa poitrine. « Je ne te reconnais plus, Jacob... » On sentait la fragilité dans sa voix, lassée par le comportement de son petit ami, qui n'avait plus rien de l'homme aimant qu'elle avait connu au lycée. « Oh, arrête avec tes réflexions de Drama Queen. » Son ton dur la surprit, et elle se terra dans le silence, attendant que l'orage passe. Ce n'était que la dernière d'une longue lignée de disputes. Depuis quelques temps, il n'était plus le même, se renfermant sur lui-même, obnubilé par ses contes de fée. Elle ne comprenait pas. Lui qui était si mature, pourquoi s'acharnait-il tellement sur ces foutus livres ? « Tu me fais peur, tu sais... » finit-elle par dire, dans un murmure. Il lui lança un regard vaguement intéressé, son visage toujours aussi fermé. « Rien ne t'oblige à rester avec moi, je ne te force pas la main, que je sache » répondit-il, glacial. Hannah ferma les yeux, tentant de contenir les larmes qui menaçaient de couler sur ses joues rosies. Il fut un temps, ils parlaient même de mariage, et à présent, tout ce qu'elle voyait, c'était leur relation qui se dégradait de plus en plus, sans pouvoir rien y faire. Qu'il soit amoureux d'une autre, aussi bizarre que cela puisse sembler, elle aurait pu essayer de l'accepter. Mais qu'il préfère des livres à elle ? Il avait atteint le sommet de la bizarrerie. « De toute façon, tu n'auras plus à supporter ma compagnie bien longtemps. Je pars en Amérique. » Elle écarquilla les yeux, surprise par un tel aveu. En Amérique, comme, en Amérique Amérique ? Avec les cowboys et les fast foods ? « Pour combien de temps... ? » Elle avait posé la question sans rien pouvoir faire pour la retenir. Une partie d'elle espérait qu'il lui dise que ce ne serait que temporaire, un séjour de quelques semaines, tout au plus. Une autre partie, la plus importante, savait ce qu'il allait lui dire. Qu'il partait pour toujours, qu'il la quittait, et surtout, bon débarras. « Je ne sais pas encore. Ce qui est sûr, c'est que je ne compte pas remettre les pieds en Allemagne de sitôt. Je pars avec Anton. On a des projets » répondit-il, évasif, ne souhaitant aucunement détailler ledit projet. Cela ne concernait que lui et son frère et personne d'autre ne devait être mis au courant. « Et tu comptais me le dire quand ? Une fois arrivé là-bas, avec une carte postale ?! » Sa voix vrilla dans les aigus et elle déchaina sa colère bien trop longtemps contenue. « Mais qu'est-ce qui t'arrives bon sang ! Tu t'éloignes de moi, tu te renfermes sur toi-même, tu deviens désagréable, et maintenant tu m'annonces froidement que tu te barres aux Etats-Unis, comme ça, sans même te soucier de moi et de nous ?! Mais quel petit ami digne de ce nom fait un truc comme ça ?! » Il l'écouta sans sourciller, impassible comme à son habitude. Il était toujours d'un calme olympien, même lorsque c'était le chaos à l'intérieur, incapable de communiquer la moindre émotion. « Hannah, je suis désolé. C'est tout ce que je peux te dire. Ce n'est pas toi, ni notre relation, tu sais que je tiens beaucoup à toi. J'ai juste... des projets qui sont très importants et dont je ne peux pas te parler, qui m'obligent à prendre cette décision. » A présent, elle ne se donnait même plus la peine de retenir ses larmes. L'incompréhension la plus totale s'était emparée d'elle. Abattue, elle ne prit même pas la peine de répondre. Elle s'avança vers lui, avant de lui administrer la plus belle gifle de toute sa vie, et partit de sa chambre en claquant violemment la porte. Il ne sursauta même pas à ce geste, se contentant de la regarder s'en aller avant de pousser un soupir las. Un jour, elle comprendrait pourquoi il faisait tout ça. Mais pas tout de suite. Tout de suite, il avait des choses bien plus importantes à faire.

- - -

« Tout est prêt ? » s'enquit-il, jetant un œil à la valise sans dessus dessous d'Anton. La sienne était remplie et fermée depuis au moins deux jours, méticuleux comme toujours, au contraire de son petit frère. Il se mit à sourire en songeant qu'il aurait fait un très bon serial killer. Anton acquiesça. « Parfait. Avant de partir, je crois qu'il serait bon que l'on fasse une dernière mise au point sur ce qu'on devra faire en arrivant à Fairview ». Des deux, Jacob avait toujours été le leader froid mais charismatique, prenant l'ascendant sans difficulté aucune sur son frère, sans jamais toutefois l'écraser. Anton était plutôt du genre lunaire, rêveur, artiste dans l'âme, ce que Jacob lui enviait parfois. Lui au contraire était bien trop terre-à-terre, ce qui était amusant lorsque l'on savait que son principal hobby était les contes de fée écrits par ses ancêtres, les frères Grimm. Et pourtant, même là, il se montrait aussi rationnel qu'il était possible de l'être dans ce genre de situation, sachant pertinemment pourquoi il se rendait dans cette petite bourgade de l'Oregon, perdue au milieu de nulle part. « Lorsqu'on sera à Fairview, il faudra que l'on trouve de quoi se loger. Pas plus d'une ou deux nuits à l'hôtel, il va falloir très vite rencontrer des habitants et se faire gracieusement héberger par eux. Il faut réussir à remettre des visages sur des personnages et pour cela, on va devoir les étudier attentivement. Que l'on soit bien clairs, nous n'allons pas là-bas pour faire dans le sentiment. » Il sentit le regard exaspéré de son frère se poser sur lui. Il radotait, certes, mais son instinct ne le trompait jamais, Anton allait faire une gaffe. Il le connaissait comme sa poche, et pouvait prévenir chacune de ses réactions, aussi ouvert qu'un livre. Encore une chose qui les différenciait. Lui ne laissait transparaître aucune émotion, et on aurait tout aussi bien pu le croire bouleversé et heureux avec la même expression du visage. S'il avait malgré tout choisi d'être accompagné par son frère, son autorité naturelle et son caractère naturellement solitaire l'amènerait forcément à un moment ou à un autre à se débrouiller seul. Il aimait profondément son frère, mais il n'avait pas l'impression qu'il comprenne à quel point leur voyage à Fairview était important. Un seul nom résonnait dans son esprit : Goldendust, ce royaume enchanté décrit par ses aïeuls. Quiconque l'aurait entendu parler de ça l'aurait déclaré bon à faire enfermer dans un asile. Mais il n'était pas fou, loin de là, au contraire, il n'avait jamais été plus sain d'esprit qu'aujourd'hui. Enfin, il avait trouvé un moyen de débloquer son imaginaire. L'évidence s'était imposée à lui, il devait aller dans cette ville américaine dont parlait les Grimm, et trouver un portail pour Goldendust. « Et Anton, n'oublie pas. Rien ne doit nous détourner de notre but. Ne te laisse pas guider par tes émotions, n'oublie pas pourquoi nous venons là-bas. Je sais que tu as tendance à te laisser emporter et à t'attacher facilement aux autres, mais à Fairview, tu ne le pourras pas. Ils ne sont même pas humains. Ils ne sont pas comme nous. Ne perd pas ça de vue. » Son ton s'était volontairement durci pour appuyer ses propos. Son petit frère protesta, lui reprochant de ne pas lui faire confiance, commentaires qu'il balaya d'un signe de main. Ce n'était pas un problème de confiance, il avait toute confiance en lui, mais le connaissait mieux que lui-même, y compris ses faiblesses. Et au moins au début, il ne pourrait pas se permettre d'avoir son allié guidé par d'autres motivations que les siennes. Par la suite, qui sait ce qui arriverait. Si jamais il devait faire cavalier seul, il n'hésiterait pas une seconde à abandonner Anton pour atteindre Goldendust. Mais il ne fallait jamais sous-estimer l'aide d'un partenaire, ce qui était son plus grand problème. Il ne savait pas déléguer, ne faisait confiance qu'à ses propres intuitions qui ne le trompaient jamais, et il le sentait, cette fois-ci, il allait enfin toucher du bout des doigts son rêve : devenir le plus grand écrivain de conte de tous les temps.
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