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 kitty fairbanks (cora keegan)

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Evey Rhodes
SCARS FROM TOMORROW.
Evey Rhodes
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kitty fairbanks (cora keegan) Empty
MessageSujet: kitty fairbanks (cora keegan)   kitty fairbanks (cora keegan) EmptySam 9 Déc - 19:31

Kitty Fairbanks
ft. cora keegan
» Prénom(s) : katherine heather joan » Nom de famille : fairbanks » Nom d'usage : kitty fairbanks » Surnom/pseudonyme : kitty (pour le plus avouable) » Nationalité : américaine » Origines : aucune, à en croire ses parents » Date de naissance : 12 décembre 1990 » Lieu de naissance : little rock (arkansas, usa) » Lieu de résidence actuel : las vegas » Occupation actuelle : chanteuse trop médiatisée pour son propre bien ascendant bimbo » Statut civil : célibataire, bien qu'on lui prête un tas de relations.

god bless america (& its citizens)
ce qu'il faut savoir sur ton personnage



1. » Kitty, de son vrai prénom Katherine, a grandi au fin fond de l’Amérique profonde. Oui, là où la connexion internet est chaotique, où les gens sont des paysans incultes adorateurs d’armes, où il fait presque toujours beau mais aussi aride. Elle n’a pas honte de ses origines, mais ne s’en vante pas non plus. Il ne faudrait pas ruiner l’image glamour que l’on dessine d’elle dans les médias. Pourtant, elle revient de loin, Kitty. Qui aurait cru que la fille de la campagne deviendrait une chanteuse superstar ? Elevée par un père pompiste et une mère tenant plus de l’agricultrice qu’autre chose, elle a eu une enfance bien plus heureuse qu’on ne l’imaginerait. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les gens de la campagne sont des gens biens, qui ne brillent pas toujours par leur culture mais se montrent pour le moins sympathique. Et puis, l’avantage, c’est qu’elle pouvait toujours traîner jusqu’à pas d’heure. Personne pour venir lui dire de faire attention, puisque la seule rencontre dramatique qu’elle aurait pu faire aurait été avec une vache. Elle avait des voisins, plein de voisins qui avaient eux-mêmes plein d’enfants avec lesquels elle pouvait s’amuser. Kitty ne regrette rien de son enfance, et si c’était à refaire, elle choisirait à nouveau de grandir dans l’Arkansas dont on se moque si facilement. Et parce qu’elle n’a pas été noyée sous le rythme urbain, elle s’est montrée enjouée, heureuse, sociable mais aussi mutine. Un sacré bout de gosse qui faisait la joie de parents dont elle était la seule enfant, et de sa bande de copains qui aimaient bien la voir traîner avec eux. Elle était un peu agaçante, oui, un peu hyperactive sur les bords aussi, mais on lui pardonnait aisément ses petits défauts.

2. » Depuis toujours, Kitty chante. On a entendu sa voix rauque bercer tous les habitants de l’espèce de village dans lequel elle habitait, et on l’invitait aux mariages et aux anniversaires pour faire plaisir aux convives. Sa voix est le trésor qu’elle chérit le plus et dont elle prend le plus grand soin. A l’adolescence, elle a monté un petit groupe de rock folk avec quelques types qu’elle connaissait et elle en est devenue sans grande surprise la chanteuse. Pas le leader, ça non, elle était trop ailleurs pour le faire, mais petit à petit le rêve a grandi. De villes paumées du fond des Etats-Unis, ils ont voyagé dans des villes un peu plus grandes pour se faire connaître, ont fait quelques très petites salles, parfois des open mics dans des bars, mais la réaction a été unanime partout : leur petit groupe était prometteur, très prometteur même. Leur renommée a grandi pour le plus grand plaisir de leurs membres, jusqu’à finir par arriver aux oreilles d’un producteur intéressé par leur musique – au moins sur le papier. Les Supernova (une idée de nom venue de Kitty pour rompre le mauvais sort et faire en sorte que leur destin soit plus durable que celui de cette étoile) ont traversé la moitié du pays pour aller à sa rencontre. Le courant est passé immédiatement, et ils voyaient déjà les rêves de grandeur, les grandes salles, les stades, la célébrité. Des rêves brisés quand leur producteur annonça que la seule qui l’intéressait réellement était la chanteuse. Pour le reste du groupe, les espoirs d’une carrière s’achevaient là, mais ils étaient bien entendu très sympathiques, merci d’avoir fait le déplacement. L’offre semblait pour le moins alléchante, même si Kitty n’était pas la plus ambitieuse du lot : la promesse de gloire, d’argent, d’enfin découvrir le monde après des années passées dans son Arkansas natal. Elle a fini par accepter, un peu contre son gré. L’idée de laisser derrière elle tout un pan de sa vie, à commencer par des amis qu’elle devinait amers de son potentiel départ l’a freinée un long moment. Mais elle a dit oui et s’est envolée pour New York, dans un premier temps, mettant par la même occasion un terme à sa relation de longue date avec son petit ami de l’époque et leader de leur groupe.

3. » Elle a vendu son âme au diable pour sa célébrité. Son producteur, largement plus intéressé par sa plastique que par ses talents de chanteuse, en a fait une poupée malléable selon ses envies. Et Kitty, trop heureuse de vivre son rêve américain, trop excitée par l'idée de devenir une superstar, a plongé dans l'envers du décor sans la moindre hésitation. En quelques mois, le buzz a été créé autour d'elle, mais jamais pour sa voix ou ses chansons pop sucrées si loin de son style habituel. On s'est pris de fascination pour cette paysanne devenue superstar et c'est comme ça que l'enfer a commencé. Tabloïds commentant ses moindres faits et gestes et photoshoots d'un goût douteux pour des magazines pseudo artistiques, elle a perdu toute crédibilité mais a accédé au statut convoité de chanteuse la plus commentée sur les réseaux sociaux. De la haine, beaucoup de haine, mais aussi les remarques graveleuses, les mauvaises rencontres, et tout ce que le star system a de pire à offrir. Alors oui, Kitty a atteint son rêve : faire parler d'elle, et être plus riche qu'elle n'en aurait jamais rêvé. Mais le prix à payer pour l'avoir atteint est bien plus lourd qu'elle ne l'aurait souhaité. Le problème, c'est que sa conscience a fini par ressurgir. Qu'elle lui a rappelé que son rêve n'était pas de devenir une bimbo sans personnalité, avec un cerveau aussi vide que le sens de ses chansons, mettant en avant son corps plutôt que son talent. Mais voilà, Kitty aime être célèbre. Elle aime l'idée de faire fantasmer, même si elle s'en défend. Elle aime la gloire, et le fric, et tout ce que son statut peut lui apporter. Partagée entre l'envie d'être enfin libérée du fardeau de son producteur qui en a fait un pantin grandeur nature et son incapacité à l'envoyer se faire foutre définitivement, Kitty a opté pour une troisième option : puisqu'elle ne peut pas mettre un terme à son contrat, elle poussera son producteur à le faire.

4. » Depuis quelques mois, Kitty Fairbanks fait la une des tabloïds sur un registre très différent. « Kitty Fairbanks : la spirale ? », « Descente aux enfers d'une starlette », « Cocaine Kitty » ne sont que quelques exemples tirés de ce que les médias ont pu dire à son sujet. Lasse d'être utilisée, elle a décidé de pousser le cliché jusqu'à son paroxysme. La starlette se casse la gueule, et on finirait presque par oublier qu'elle était chanteuse, à l'origine. Fêtarde extrême, jamais sobre avant 16h de l'après-midi et avec un large penchant pour la consommation de drogues en tout genre, elle crée son propre mythe de débauche sans même avoir besoin de se forcer – preuve que l'envie devait couler en elle depuis toujours – jusqu'à exaspérer son producteur. Qui trouve malgré tout le moyen de capitaliser sur ça, d'en faire la nouvelle Lindsay Lohan croisée Paris Hilton, la fêtarde issue de la jet-set dont on se prend à espérer qu'elle trouve la rédemption. On réinvente son passé, exit la campagnarde issue de l'Arkansas, Kitty devient autre. Alors elle pousse le vice un peu plus loin : orgies, sextapes qu'elle leake elle-même, dépravation totale. Mais elle se perd, elle aussi. Elle se noie dans les sirènes des vices qu'elle consomme à toute allure, plus souvent perchée que clean, plus souvent bourrée que sobre, les cuisses écartées en permanence. Kitty devient le cliché que tous attendaient, et sa surmédiatisation la fait plonger dans une spirale dont il devient difficile de l'extirper.

5. » Kitty se plaît à penser qu'elle est un homme dans un corps de femme. Tour à tour sulfureuse, sensuelle, exubérante, pathétique, elle joue dans chaque registre avec une virtuosité qui n'appartient qu'à elle-même. Elle se moque des hommes qui fantasment sur elle sans aucune gêne et pire, les allume très volontiers avec ses moues aguicheuses. Elle aime provoquer le désir chez eux et plus encore, aime les narguer en ne leur offrant pas ce qu'ils veulent. Elle n'est jamais là où on l'attend et elle déploiera des trésors d'inventivité pour un homme entre ses reins, avant de réaliser qu'en fait, elle n'en a rien à foutre, et qu'il n'est même pas si bon que ça. Elle partira avant même que le matin ne se lève (histoire d'éviter tout malentendu une fois le réveil arrivé) et ne rappellera plus jamais. Elle fait exactement ce que les hommes font aux filles, leur rend la monnaie de leur pièce sans même chercher à le faire. Bien trop je m'en foutiste pour entretenir une relation avec quelqu'un, elle se joue des hommes avec une aisance impressionnante. Elle ne veut pas de couple, pas d'amour, pas de complications. Bien sûr, certains hommes ont sa préférence non-avouée et à ceux-là, elle offrira un peu plus qu'une nuit mais jamais aucun n'aura l'impudence de lui voler son cœur.

6. » Elle est vulgaire. Trash. Sale. Sans la moindre limite. Elle a repoussé depuis bien longtemps ce que les gens appelleraient les limites, ou même la décence. Kitty ne connaît rien de l'attachement aux gens. Détachée et nonchalante, elle prend les choses comme elles viennent. Les gens près d'elle deviendront ses meilleurs amis, que ce soit pour une heure, une soirée, une nuit, une vie. Loin des yeux, loin du cœur, elle ne fait aucun effort pour entretenir ses amitiés qui vont et viennent au rythme du temps qui passe. Excessive jusqu'au bout, elle couvrira d'affection ceux qui lui en témoignent en retour, mais n'attendez pas d'appel ou de message de sa part, car elle n'en envoie jamais. L'insaisissable Kitty Fairbanks est un mystère que trop de personnes ont tenté de percer sans y parvenir. Comme toujours, on se plaît à croire qu'il y a plus sous la couche superficielle qu'elle exhibe à la foule, plus qu'un corps, plus que des mauvaises habitudes, plus qu'une fille cocaïnée à crever et le plus souvent à côté de ses pompes au point d'annuler une partie de ses concerts. On se dit qu'en fait, elle a tout compris pour faire parler d'elle et qu'elle est incroyablement intelligente. C'est faux. Kitty n'est pas intelligente. Pas brillante. Pas cultivée. Simplement maligne et perspicace quant à ce que les gens attendent d'elle. Elle est devenue un spectacle vivant, un show en trois dimensions qui ne laisse pas de marbre.

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Le concert a été un inévitable fiasco. Rien que de trop prévisible pour une Kitty en perdition, avec une bouteille d'eau remplie de vodka pour accompagner sa voix rauque avant de partir d'un éclat de rire hilare en plein milieu d'une chanson. Tout le monde a eu l'air de se marrer, pourtant, il faut croire que la mythique Fairbanks a encore de beaux jours devant elle. Bien sûr, personne ne vient vraiment pour la qualité de sa musique, parce que soyons honnêtes, il y a bien des années qu'elle n'a pas sorti la moindre chanson décente, mais plutôt pour l'ambiance survoltée qui règne toujours dans la salle. Sans même avoir eu besoin de se forcer, Kitty a fait le choix, même si ce n'était pas celui que son producteur attendait. Elle l'a soigneusement esquivé à la sortie de la scène, l'ignorant avec toute la dignité dont elle était capable compte tenu de son taux d'alcoolémie élevé, pour s'enfuir de la salle de concert et rejoindre le meilleur moment de la soirée. Indifférente à ses appels – elle a fini par éteindre son téléphone pour ne plus être dérangée par la sonnerie incessante – avant de prendre la direction de l'after party. C'est un événement dans l'événement, avec des invitations balancées par dieu seul sait qui aux gens qui savent faire la fête et si tout le monde a une idée précise de la façon dont elle commencera, personne ne sait comment elle finira. Probablement dans un excès total d'alcool, de drogue, de sexe, de débauche, jusqu'à ce que plus personne ne se rappelle ni son nom, si ce qu'il fout là. Tant mieux. C'est exactement ce que Kitty vient chercher dans ce genre d'endroit qui  pue la dépravation à la seconde même où on fout un pied dedans. Une grande baraque, avec piscine, et le reste appartient à l'histoire. Ici, la chanteuse s'efface au profit de la fêtarde accomplie, qui achèvera probablement sa nuit dans un king size bed, les pupilles tellement dilatées qu'on oubliera le vert de ses yeux, perdue dans des réflexions post orgie, entourée de plusieurs types qui ont enfin accompli le fantasme d'une vie : se taper une chanteuse. Non, pardon, pas une chanteuse, pas n'importe quelle chanteuse, et surtout pas une wannabe cherchant à se faire peur. Kitty Fairbanks n'est pas un mythe, elle est LE mythe, désirée, désirable, réputée pour sa propension excessive à faire la fête et les moyens qu'elle a à disposition pour la rendre toujours inoubliable. Son corps, aux courbes rien moins qu'alléchantes, ses phrases mordantes, ses flirts jamais innocents ou la façon qu'elle a d'écarter les cuisses à la moindre occasion. Elle se demande parfois ce que sa mère dirait si elle la voyait, comme ça, prête à se taper n'importe quel type pourvu qu'il bande assez, icône de la vulgarité, du bling-bling outrancier, de l'adage sexe, drogue et rock'n'roll. Elle aurait sans doute honte. Ouais, c'est même sûr. Sauf que sa mère n'a pas la moindre idée de la vie débridée qu'elle mène, qu'elle n'a même pas la télé et qu'elle n'écoute pas son poste de radio aux ondes un peu foireuses. Tant mieux pour Kitty qui n'aura donc pas besoin de culpabiliser après s'être fait culbutée par trois types différents, en songeant que sa pauvre mère serait mortifiée. Et puis merde, qu'est-ce qu'on s'en fout, qu'elle se dit en allumant une clope. Déjà gamine elle n'était pas raisonnable, elle foutait le bordel à courir partout, sans arrêt, ne rentrant parfois qu'à l'aube après avoir passé la nuit près du lac à quelques centaines de mètres de la maison. Certes, c'était pas les orgies qu'elle organise maintenant, mais elle était prédestinée à partir en vrille. C'est un truc écrit dans les gênes, qui se commande pas, on l'a lâchée à peine sortie de l'adolescence dans la fosse aux lions et plus personne s'est soucié de savoir si elle pouvait mal tourner. Le tout dans le tout, elle s'en sort pas si mal finalement : aucune tentative de suicide, aucune overdose, aucun pétage de plomb face caméra et pas de crâne rasé façon Britney. Ouais, Kitty est une putain de miraculée, le contre exemple de ce que la célébrité a de pire à offrir. Elle pourrait être six pieds sous terre mais non, elle est encore là, défoncée certes, mais plus vivante que jamais. Parfait cliché de ce qui peut se faire de pire, mais elle n'est rien d'autre que ça, Kitty : un cliché. Une caricature. Un concept monté de toute pièce pour faire vendre plus de journaux de merde que les pétasses s'empresseront de dévorer et commenter. La vie de Kitty sera passée au peigne fin, scrutée sous tous les angles, on cherchera la mesquinerie en analysant son corps sous les moindres coutures pour y trouver de la cellulite, on commentera ses derniers déboires en matière de vie sentimentale – est-elle, oui ou non, en couple avec Anton ? Si oui, alors pourquoi l'a-t-on trouvée en train de se taper un mec dans les toilettes de la dernière boite à la mode de Los Angeles ? - et on tentera de la faire devenir dingue. Genre vraiment dingue. Peut-être qu'ils y arriveront, à force. Peut-être que la pression sera tellement forte qu'elle craquera et finira en hôpital psychiatrique. Mais pas tout de suite, y a encore trop de choses à faire, à vivre, trop de doigts d'honneur à adresser à son putain de producteur qui continue de l'appeler – ce qu'elle sait parce qu'elle a été forcée de rallumer son téléphone pour vérifier si Anton l'avait appelée – et qu'elle est loin d'en avoir fini avec la spirale qui la guette, l'appelle sans totalement l'engloutir. Kitty résiste comme elle peut aux vices, y succombe souvent tout en essayant de ne jamais partir trop loin. Elle sait qu'à la minute où elle perdra vraiment pied, elle sera foutue. Définitivement foutue. Elle est tirée de ses pensées par l'arrivée d'un James tout fier de lui. « Well, well, si ce n'est pas ma groupie favorite » ricane-t-elle avant de tapoter le lit sur lequel elle est allongée. Un regard l'informe que les types y dorment encore et sans le moindre ménagement, elle les pousse jusqu'à les en faire tomber dans un bruit sourd. Ils sont tellement défoncés qu'à l'exception d'un grognement, ils ne bougent pas d'un pouce. « Bien mieux. Viens donc me rejoindre et me raconter tes exploits. Qu'est-ce que le grand, le magnifique James Carmichael a-t-il bien pu faire de sa soirée, puisqu'il ne l'a pas passée avec moi ? » Elle se fait boudeuse, se rappelant soudain qu'elle devrait être vexée d'avoir été si honteusement ignorée par son acolyte du moment. « Mmh, je suppose qu'il est encore temps de te rattraper. » Elle lui jette un regard qui n'a rien d'innocent, avant de se mordre la lèvre. « Après tout, tu sais ce qu'on dit. La nuit nous appartient. »  


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» Prénom : jordane
» Pseudo : lightwoods
» Âge : vingt-quatre ans
» Scénario ou personnage inventé : inventé
» Des multicomptes ? selina, kane, et nicholas.
» Impression sur le forum : :y: :y:
» Crédits : @tumblr
» Le mot de la fin : goodbye reed d'amour :3940:
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kitty fairbanks (cora keegan)

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