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 cece wildworth (rachel hilbert)

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Evey Rhodes
SCARS FROM TOMORROW.
Evey Rhodes
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MessageSujet: cece wildworth (rachel hilbert)   cece wildworth (rachel hilbert) EmptySam 9 Déc - 19:17

Cecelia "Cece" Wildworth
ft. rachel hilbert
» Prénom(s) : cecelia marissa willa evan » Nom de famille : wildworth » Nom d'usage : cece wildworth » Surnom/pseudonyme : cece, blondie » Nationalité : américaine » Origines : américaines » Date de naissance : 13 février 1992 » Lieu de naissance : new-york, united states » Lieu de résidence actuel : nouvelle-orléans » Occupation actuelle : serveuse dans un bar » Statut civil : célibataire (forever alone)

god bless america (& its citizens)
ce qu'il faut savoir sur ton personnage


1. » Elle ne se plaint jamais de sa vie, Cece, et pourtant elle pourrait. Elle pourrait se plaindre et blâmer la terre entière, surtout l'enfoiré qui lui sert de géniteur et qui a eu le bon goût de les abandonner, sa mère et elle, alors qu'elle venait de naître. Il a eu la décence d'attendre deux semaines, histoire qu'on ne le pense pas trop lâche, mais il a sûrement capté qu'il n'était pas fait pour être père et absolument pas prêt. Sa mère lui parle de lui, parfois. Il n'y a pas de colère dans sa voix, seulement une pointe de nostalgie dont elle ne parvient pas à se défaire. Parce qu'elle l'a aimé, cet homme. Elle l'a aimé comme on n'aime qu'une fois dans sa vie, elle l'a aimé comme seule une femme peut réellement aimer. Sa mère n'a jamais été capable d'être avec un autre homme et Cece sait qu'elle espère encore, parfois, qu'il revienne dans leurs vies et tente de se faire pardonner. Ils avaient vingt-trois ans quand ils l'ont eue. Vingt-trois ans, c'est l'âge qu'elle a aujourd'hui et cette pensée la fait sourire : elle non plus ne serait pas prête à avoir un enfant maintenant. Alors elle tente de ne pas détester l'homme qui l'a abandonnée, parce que sa propre mère ne déteste pas l'homme qui l'a quittée du jour au lendemain, sans même un message d'au revoir. Et sa mère, c'est toute sa vie, et bien plus encore. C'est celle qui l'a aimée inconditionnellement quand elle était encore dans son ventre et qui n'a jamais cessé de l'aimer depuis, celle qui l'a élevée malgré toutes les difficultés, celle qui l'a bercée les nuits de cauchemars, celle qui a quitté son boulot en catastrophe bien trop souvent pour venir récupérer sa fille malade, même si son patron n'était pas d'accord et qu'elle risquait de se faire virer. Celle qui a tout fait pour que Cece ne se sente jamais seule, ni malheureuse, pour qu'elle apprenne à aimer la vie, même quand celle-ci n'a rien de facile. L'amour qu'elle lui porte est au-delà des mots, transcende tout son être. Alors elle essaie de toutes ses forces de ne pas haïr son père, et de faire comme sa mère, de l'aimer malgré tout, même s'il est parti, même s'il ne reviendra jamais. Mais tout ce qu'elle réussit à faire, c'est nourrir du ressentiment à son égard, et en aimer davantage sa mère : elle non plus n'était pas prête, Cece était l'accident de parcours qu'ils n'avaient pas prémédité. Pourtant, elle n'a pas pris la fuite, sa mère. Elle a été forte, incroyablement forte, a fait ce qu'elle a pu et a assumé son nouveau rôle, même si elle avait peur, même si elle ne s'en sentait pas capable. Cece n'admire personne tant que cette femme qui lui a donné la vie.

2. » Cece a grandi dans un monde où l'argent ne pousse malheureusement pas du sol, et où chaque dollar est infiniment précieux. De petit boulot en petit boulot, toujours excessivement mal payés, sa mère a fait en sorte que sa fille unique ne soit jamais affectée par les fins de mois difficiles, les deux bouts impossibles à joindre, les périodes de vache maigre où, l'estomac vide, elle puisait dans ses dernières ressources pour offrir à sa fille de quoi manger à sa faim. Lily n'a toujours eu qu'un but en tête : ne jamais donner l'impression à Cece d'être différente, d'être malheureuse, d'être pauvre. Alors elle a sacrifié tout l'argent qu'elle gagnait pour payer le loyer d'un minuscule appartement dans le Bronx, a acheté à sa fille des vêtements sympas, même s'ils n'étaient porteurs d'aucune marque, lui a permis de mener une vie paisible autant qu'elle le pouvait. Ce n'était pas toujours suffisant, évidemment. Parfois, Cece aussi se couchait le ventre vide et, les poings serrés, priait pour que le jour vienne où elle gagnerait assez d'argent pour mettre sa mère hors du combat incessant pour leur survie. Mais elle n'a jamais été malheureuse. Elle n'a pas souvenir d'un seul jour, d'une seule seconde où elle a regretté sa vie, ou les choix de sa mère. Pragmatique, elle attendait seulement les lendemains meilleurs, et, discrètement, remettait parfois l'argent dans la petite boîte en osier de sa mère contentant les économies de la semaine. La culpabilité était un moteur puissant, mais pas aussi puissant que le sourire d'une mère quand, à la fin du mois, elle réalisait qu'elle avait de quoi amener sa fille voir un film, ou aller dans un de ces petits diners qui pullulent à New York. Ce n'était pas grand-chose, mais bien assez pour une gosse simplement heureuse d'être aimée. L'argent n'a jamais été une fin en soi, encore maintenant elle veille à ne jamais dépenser plus que de raison, se montre étonnamment sage lorsqu'il s'agit d'argent. Elle n'oublie pas les années de galère, dans la ville qui ne dort jamais et vous fait payer jour après jour le fait d'être pauvre.

» 3. Tous ceux qui l'ont rencontrée vous diront la même chose : cette fille possède un cœur immense, le genre qui ne fait que grandir d'année en année, comme s'il tentait d'absorber le monde tout entier à l'intérieur. Elle respire la joie de vivre, distribue rires tonitruants et sourires éclatants à tous les gens qui croisent sa route. Cece possède les défauts de ses qualités : elle prétend que tout va bien quand son monde s'effondre, donne plus que de raison aux gens sans jamais avoir la certitude qu'on puisse le lui rendre, aime démesurément et retombe trop souvent, voit le meilleur chez les autres au point d'en occulter le plus mauvais avec sa caractéristique naïveté. On tente d'abuser de sa gentillesse et d'une incapacité chronique à dire non, et Cece, bonne poire, se laisse faire. Parce qu'elle craint l'abandon, craint de ne pas être aimée si elle a le malheur de ne pas accepter quelque chose, sans jamais comprendre que c'est précisément pour cela qu'elle est délaissée. Cece, on l'aime, mais seulement un temps. On l'aime un peu, mais jamais assez, jamais autant qu'elle le voudrait. Elle donne, confond parfois son corps et son cœur quand elle se livre aux hommes dans l'espoir qu'eux aussi puissent l'aimer, et récupère jour après jour les miettes de son cœur qu'elle abandonne dans la bataille. Elle le reconstruit, le resoude, mais chaque blessure est plus profonde que la précédente, chaque fissure plus difficile à colmater. Cece s'investit trop, pour les mauvaises raisons, et de la mauvaise façon. Et parfois, lorsqu'elle réalise combien ses efforts sont vains, elle se rebelle. Ce n'est rien de trop fort, rien de trop flagrant, parfois c'est un simple non qu'elle prononce à haute voix, mais ça fonctionne. Elle se fait respecter, même si ce n'est que pour un temps, et puis ses joues rosissent et elle baisse la tête, coupable, finit par s'excuser. L'expérience lui a appris à se battre, comme le fait sa mère. Elle tente de s'affirmer, réussit parfois, échoue souvent, on découvre au fil des années une personnalité plus forte, plus marquée, moins conciliante et on se rend compte qu'il y a peut-être quelque chose de plus, chez elle. Une force, qu'elle même ne soupçonne pas, quelque chose qui la rend plus précieuse, plus belle, plus désirable. Ca ne dure jamais très longtemps, à peine le temps d'une voix qui se hausse, d'un sourcil qui s'arque, mais c'est assez pour deviner les innombrables couches qui se dessinent au travers d'elle et la rendent infiniment plus complexe qu'elle ne le laisse présager. Pourtant, ça ne suffit jamais. Pour une raison qu'elle ne parvient pas à s'expliquer, ça n'empêche jamais les hommes de ne pas s'attacher à elle, ou de lui briser le cœur. Il faut croire qu'elle n'est pas faite pour être aimée correctement.

4. » Cece a toujours su que New York n'aurait rien à lui offrir. La ville qui ne dort jamais, berceau de tous les rêves tués dans l'oeuf, où le manque d'argent est le premier et pire des défauts. Pourtant, il lui aura fallu de longues années avant d'enfin se décider à quitter le nid. La culpabilité filiale, la crainte de voir sa mère dépérir si elle l'abandonnait, l'a poussée à s'attarder plus longtemps que de raison dans la capitale des illusions brisées, juste assez pour subir son lot de déceptions sentimentales et finalement accélérer son départ. Ce sera la Nouvelle Orléans, a-t-elle dit un matin à sa mère, attablée pour le petit-déjeuner. Et puis, elle a failli dire que non, je plaisante maman, je ne pars pas, je ne peux pas partir loin de toi, tu le sais. Parce que sa mère lui a lancé le regard que seule une mère peut lancer : le regard qui veut dire non, ne fais pas ça, c'est encore trop tôt, et qui dit je sais que tu en as besoin, et si tu veux le faire je ne t'en empêcherai pas. Le regard qui veut dire oui, mais ça me brise le cœur. Cece n'a jamais voulu blesser sa mère en lui annonçant son départ. Elle préparait le terrain depuis des semaines, mentionnant une destination, ou une autre, l'air de rien, juste pour l'habituer mentalement à voir la chair de sa chair s'éloigner de plusieurs milliers de kilomètres. Mais Cece a tenu bon : il le fallait. C'était la seule chose à faire, la seule chose capable de la faire vivre enfin, plutôt que d'attendre elle ne savait trop quoi, quelque chose, qui ne tomberait pas du ciel et se devrait d'être saisi entre les doigts. Le destin ne s'attend pas, il se provoque, se gagne. Sa mère n'a eu d'autre choix que d'acquiescer et de lui faire promettre qu'elle reviendrait, dès qu'elle le pourrait, aussi souvent qu'elle le pourrait même. Cece a dit oui, et elle est partie. La Nouvelle Orléans lui ouvrait des bras accueillants pour lui offrir la moiteur sucrée des nuits dansantes sur un rythme de jazz. Elle y vit depuis près de quatre ans, et s'émerveille chaque jour de redécouvrir la ville. Serveuse dans un bar qui ne paie pas de mine mais sert des cocktails divins, elle contribue à elle seule à renflouer les caisses autrement moroses de l'endroit. Ses sourires enjôleurs, ses grands yeux battant langoureusement face aux clients, font tout le travail, et les pourboires sont généreux. Pas assez pour lui offrir une vie de rêve, mais assez pour lui permettre de vivre correctement, bien plus que si elle était restée dans sa ville natale. Le cœur de Cece bat plus fort, à la Nouvelle Orléans.

5. » Cece vit dans le Treme, le quartier dit sensible de la ville, mais qui lui a toujours semblé accueillant.  - elle nourrit en secret une passion pour les mythes autour de la Nouvelle-Orléans et notamment la culture vaudou – elle n'a jamais fait d'études, n'a jamais été à l'université et ne compte pas le faire. - elle n'a rien d'une fille brillante mais en a parfaitement conscience – elle possède une petite réserve d'argent, pour un projet qu'elle n'a pas encore déterminé, probablement un tour du monde – elle a adopté l'accent de la Louisiane – elle sait se défendre, y compris avec ses poings, raison pour laquelle il vaut mieux éviter de trop la provoquer – elle a arrêté de fumer quand elle a réalisé qu'elle dépensait trop d'argent dedans – elle est plus mature qu'il n'y paraît, connaît la valeur des choses et se montre précautionneuse dans ce qu'elle fait – en amour, en revanche, c'est tout l'inverse, elle donne sans réfléchir, quitte à se brûler les ailes – elle carbure à la caféine – elle rentre à NY au moins une fois par trimestre, pour voir sa mère – elle n'aime pas qu'on lui dise ce qu'elle doit faire : rien n'est impossible, quand on le veut vraiment – Cece a du mal à supporter les riches qui se plaignent de leur condition de... riches – elle a développé une affection particulière pour le jazz et en particulier les morceaux avec saxophone – elle joue les guides touristiques, de temps à autre – elle peut se montrer très susceptible si on choisit le mauvais angle d'approche avec elle – le cœur sur la main, elle n'hésite pas à aider les gens auxquels elle tient, même si ça doit la mettre dans une position délicate – très sensible, elle s'émeut d'un rien, et confessera sans gêne pleurer devant les vidéos d'animaux mignons – elle déborde d'énergie et peut enchaîner plusieurs nuits blanches sans rien perdre de sa fougue.

who plays the part ?
ce qu'il faut savoir sur toi


» Prénom : jordane
» Pseudo : lightwoods
» Âge : vingt-quatre ans
» Scénario ou personnage inventé : personnage inventé
» Des multicomptes ? babes
» Impression sur le forum : woot
» Crédits : @tumblr
» Le mot de la fin : love, love I love you
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cece wildworth (rachel hilbert)

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